Une cinquantaine de zadistes expulsés du Carnet
Le Grand port maritime met l'avenir du site sur pause
La fin de l'occupation d'un site, c'est le début de la fin pour un projet d'aménagement. Après occupation des lieux, plus rien ne peut être comme avant.
L'occupation marque une volonté manifeste des opposants, empêche tout démarrage de chantier, donne un retentissement national à un combat et, en final, aboutit au résultat recherché : l'abandon du projet ou un moratoire synonyme d'abandon ou une remise à plat avec la participation du public, ...
Site Reporterre du 24 mars 2021. Malgré l’expulsion de la Zad du Carnet, les opposants au béton iront « jusqu’au bout »
Les élus savent bien qu'ils ne peuvent pas relancer un projet d'aménagement semant la division car ils s'exposeraient à de nouvelles occupations et le désordre public est à éviter surtout en temps de crise. Il faut toujours avoir en mémoire la petite phrase de Edouard Philippe, en janvier 2018, pour justifier l'abandon du projet de l'aéroport de Notre-Dame-des-Landes : "un tel projet d'aménagement qui structure un territoire pour un siècle ne peut se faire dans un contexte d'opposition exacerbée entre 2 parties presque égales de la population.... Notre-Dame-des-Landes aujourd'hui, je le constate, c'est l'aéroport de la division"
Après l'occupation du site de la Normandelière de octobre 2019 à avril 2020, le projet de port de plaisance de Bretignolles n'a aucune chance de voir le jour. Il suivra le même chemin que les autres : Notre-Dame-des-Landes, Sivens, Déviation de Beynac, Val Tolosa, Europacity, Roybon, Gonesse, Carnet, Saint-Père-en-Retz, ...
Une pensée pour Rémi Fraisse et sa famille : le mort de trop
L'image de avril 2020, diffusée sur les médias nationaux, qui collera à la peau, à jamais, à la bande de Christophe Chabot et de Frédéric Fouquet. Ils croyaient tuer l'occupation, ils l'ont immortalisée !Lire la suite dans Plus d'Infos
Décès de Jean-Claude Schmidt, hydrogéologue
Aubigny-Les Clouzeaux. Une nouvelle vie pour la carrière de la Vigne
La commission ne bouleverse pas les dispositions relatives à la protection judiciaire de l'environnement
L’érosion côtière a voix au chapitre.
Biodiversité : lundi, la secrétaire d’Etat visite la réserve de l’Estagnol
Ouest-France du 25 mars 2021. Décès de Jean-Claude Schmidt, hydrogéologue
Ouest-France du 23 mars 2021. Aubigny-Les Clouzeaux. Une nouvelle vie pour la carrière de la Vigne. Voir aussi Le Journal du Pays Yonnais du 22 mars 2021. Des faucons pèlerins retardent la mise en eau de la carrière des Clouzeaux.
« Ce volume est un gage de bonne qualité de l’eau. Pour nous, les carrières épuisées sont de très bonnes solutions pour stocker l’eau. Nous n’avons plus le droit de construire des barrages en plaine. Il nous faut pourtant de l’eau en cas de sécheresse ». Eric Miesch, directeur adjoint de Vendée Eau. Lire l'article du blog du 12 septembre 2019. Carrière de Brethomé : les mensonges de Vendée Eau
La Banque des Territoires du 23 mars 2021. Climat et Résilience : la commission ne bouleverse pas les dispositions relatives à la protection judiciaire de l'environnement
La Banque des Territoires du 23 mars 2021. Climat et Résilience : l’érosion côtière a voix au chapitre. La commission spéciale de l’Assemblée nationale a introduit dans le projet de loi Climat et Résilience un cadre juridique adapté à la prise en compte du recul du trait de côte en tant que composante des politiques locales d’urbanisme et d’aménagement, qui fait aujourd’hui défaut.
Métropolitain du 21 mars 2021. Montpellier. Biodiversité : lundi, la secrétaire d’Etat visite la réserve de l’Estagnol
Si l'on regarde bien, la réserve du Marais-Girard, c'est 76 ha qui pourraient être classés, près de la commune de Bretignolles, au titre de la biodiversité terrestre. Il faudrait y rajouter la biodiversité marine. On attend la secrétaire d'Etat !
Le silence !
RépondreSupprimerDepuis plus de 24h00, Denéchaud s'est éteint !
Plus un seul petit morceau de mouche, de vermisseau, de Blanchet ou de Pipeau à dévorer !
Il est rassasié et plongé, pour l'instant, comme les fauves, dans une certaine léthargie, il se recharge en venin ! Mais gare au réveil de l'ogre ! Son appétit n'a pas d'égal !
A l'instar de son maître et du projet de port, il veut être exemplaire !
Alors attendons de voir sur qui il va jeter son dévolu !
Il peut bien le jeter sur qui il veut:ça fera pschitt et c'est tout.
RépondreSupprimerIntéressant l'article sur la carrière des Clouzeaux. La réalité, malgré l'air intéressé de Vendée eau, c'est qu'ils ont tout fait pour s’asseoir sur les règles environnementales et notamment sur l'histoire entre autres, du f.pélerin. Le résultat c'est que malgré ces règles, aucune mesure de compensation sur le f.pélerin, les reptiles et divers amphibiens dont certains bénéficiant d'une forte protection et d'un fort statut de rareté. La seule mesure environnementale (mesure de réduction des impacts) porte sur le béa-ba: les périodes de travaux: ici la mise en eau...aucun évitement, ni compensation...et ce ne fut pas sans discussion houleuse de leur part puisqu'en interne les sujets environnementaux semblent, par principe, leur donner de l'urticaire. le compromis entre leurs projets et les règles environnementales semble compliqués dans leur esprit. La plantation de X arbres, c'est clairement de la com environnementale car dans ces milieux c'est justement la typicité d'habitat ensoleillé et minéral qui font leur richesse biologique. Comme beaucoup de projet, le "promoteur" joue la carte du "bénéfice environnemental" mais c'est exactement l'inverse qu'il se passe, certes, à divers degrés. Evidemment, il y a des besoins en eau et mieux vaut que cette carrière soit utilisée comme tel plutôt que remblayée (...toujours le choix du pire ou du moins pire quant il s'agit de biodiv...), mais que Vendée Eau utilise utilise l'argument du besoin en eau pour accomplir leur projet alors qu'ils étaient prêts à jeter les milliers de mètres cubes d'eau douce issus de la réserve d'eau déjà en place qu'est la carrière à Breti...et pour un port de loisir... A n'en pas douter, Vendée Eau est un promoteur de l'eau et j'ai du mal à bien percevoir leur éthique
RépondreSupprimerIl ne faut compter sur personne pour les protections environnementales : trop d'enjeux financiers et corruption généralisée. Se regrouper localement en associations, collectifs de citoyens, pour se donner les moyens d'agir. Ça urge !
SupprimerC'est comme Chabot qui osait dire que son port serait bénéfique pour l'environnement !
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