Faut-il s'étonner de l'insurrection populaire actuelle, on ne va quand même pas se laisser gouverner par des mafieux, ceux qui utilisent l'argent des contribuables pour leurs projets anti-environnementaux.
Ce lobbying, après l'enquête publique sur le projet de plaisance de Bretignolles, pour faire pression sur la décision du préfet de Vendée, est tout à fait inacceptable !
Quel cinéma, comme si c'était la première rencontre entre Christophe Chabot et François de Rugy ! (voir article du 5 septembre 2018)
"Serge Pallarès a présenté à Monsieur le Ministre, le maire de Bretignolles-sur-Mer, Christophe Chabot, permettant à ce dernier d'évoquer son projet de port de plaisance"
Ouest-France du 12 décembre 2018. Salon nautique. Le stand de la Vendée a été inauguré ce mercredi
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Il faut accélérer le recyclage des vieilles coques
La planète est-elle (vraiment) foutue ? - Le cri
A l'horizon 2025, plus de rejet en mer possible
Le déni au conseil municipal de Bretignolles du 12 décembre 2018
Commentaires de Catherine Chabaud sur liste d'attente et ports à sec : ça plombe le projet de Cricri
Ordre du jour du conseil communautaire du 20 décembre 2018
Bréti-ZAD monte en puissance
Plaisance à Paimpol : des bateaux moins nombreux mais plus gros
Le résultat d'exploitation de Port Brétignolles serait très supérieur à celui de Port La Vie !
Ouest-France du 13 décembre 2018. Il faut accélérer le recyclage des vieilles coques
Voilà une opération d'intérêt général qui devrait mobiliser le Conseil Départemental de la Vendée et qui permettrait d'éliminer le projet de port Brétignolles, un projet clairement identifié pour stocker les petits bateaux qui encombrent le port de Saint-Gilles-Croix-de-Vie (la fameuse mutualisation !)
C8 du 13 décembre 2018. La planète est-elle (vraiment) foutue ? - Le cri
Ouragans, sécheresses, inondations, feux gigantesques, fonte des glaces, la planète est attaquée de toutes parts. Depuis le mercredi 2 août 2018, l'humanité vit à crédit. A cette date, elle a consommé en seulement sept mois toutes les ressources que la Terre pouvait produire en une année. Depuis quelques mois à peine, le discours des scientifiques s'est durci. Sous l'effet du changement climatique, de la croissance démographique et de la consommation accrue des ressources naturelles, la planète a atteint son point de rupture. Les prédictions de plus en plus alarmistes sont-elles exagérées ? L'Homme peut-il encore sauver son propre avenir et la planète Terre ? Alors que la Cop24 se tient à Katowice, un état des lieux de la planète est dressé.
Indépendant du 13 décembre 2018. S.Pallarès réélu à la tête de la fédération française des ports de plaisance
"à l'horizon 2025, il n'y aura plus de rejets en mer possible"
Compte tenu de cette contrainte à court terme, un nouveau projet de port de plaisance tel que le projet de Port Bretignolles ne peut envisager de rejeter les boues de dragage des bassins portuaires au large de la Normandelière.
ça va alourdir les coûts !
Les boues de dragage : l'épée de Damoclès des ports de plaisance
Le déni au conseil municipal de Bretignolles du 12 décembre 2018 : site AvenirPourBretignolles du 13 décembre 2018
Christophe Chabot perd les pédales devant l'insistance de Nicolas Ducos et finit par avouer :
"un port à sec on s'en fout" et il va même plus loin en précisant que ce qui l’intéresse ce n’est pas de rajouter des anneaux à l’offre existante mais de permettre aux plaisanciers de Brétignolles de mettre facilement leurs bateaux à l’eau.
France Inter du 12 décembre 2018. La mer monte ? Courses, réchauffement climatique, pollution des océans, on fait le point
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Commentaires de Catherine Chabaud sur liste d'attente et ports à sec : ça plombe le projet de Cricri
Ordre du jour du conseil communautaire du 20 décembre 2018
Entourloupe : les 16 000 000 d'euros pour le projet de port de plaisance qui seront noyés dans le budget primitif 2019.
Bréti-ZAD monte en puissance
Actu.fr du 14 décembre 2018. Plaisance à Paimpol : des bateaux moins nombreux mais plus gros
"Alerte
Le maître de port informe :
Il y a moins de bateaux mais ils sont plus gros avec une très forte demande pour les plus de 9 mètres en contrat à l’année.
« Alerte », prévient Jean-Yves de Chaisemartin, vice-président du conseil départemental chargé des infrastructures :
il y a moins de bateaux de plaisance ; tous les ports sont concernés à part Lézardrieux qui se maintient à peine mais confirme son rôle de locomotive.
Il note ainsi que « pour la première fois, le port de Tréguier a quatre places vides ».
Pour l’élu :
Ca pose la question de l’évolution de la plaisance et de la gestion individuelle des ports et plaide en faveur du regroupement qu’on est en train d’opérer.
Le conseil départemental une gestion commune des ports de Paimpol, Pontrieux et Lézardrieux dans un premier temps"
Toujours la même tendance, ce n'est vraiment pas le moment de créer un nouveau port de plaisance sur la côte atlantique, le regroupement des ports pour une meilleure gestion de l'existant est une solution.
On a vraiment l'impression de "pisser dans un violon" à force de répéter la même chose !
Le résultat d'exploitation de Port Brétignolles serait très supérieur à celui de Port La Vie !
En 2017, la SEMVIE qui gère Port la Vie a dégagé un résultat d'exploitation de 84 924 euros. Dès la première année d'exploitation, Port Brétignolles dégagerait un résultat d'exploitation supérieur à 1 500 000 euros afin de rembourser, sans l'argent des contribuables, l'énorme emprunt de 30 000 000 d'euros sur 20 ans ! On nous prend vraiment pour des cons !
C'est Christophe chabot qui vante les bienfaits d'un port à sec au salon nautique de Paris. Du coup il immortalise le moment par une photo.
RépondreSupprimeril a déjà fait la mème chose avec Borloo il y a qq années
Supprimerest ce qu'il y a moyen de prouver que tout était décidé d'avance avant même l'enquête publique ? que Chabot était pote avec les commissaires enquêteur, qu'ils se faisaient des restos ensemble pendant l'enquête, que les commissaires n'ont pas pris la peine de regarder et analyser les arguments fondés des opposants, que pendant l'enquête, lors des entretiens, les commissaires avaient réponse à tout aux questions et arguments des opposants...bref, c'est trop grillé que cette enquête n'est que de la magouille !!
RépondreSupprimerje suis d'accord avec vous , mais suis également confiant dans la décision du préfet, et si son avis était favorable, les opposants au port ont 10 ans de procédure très argumentée. D'ici là , il peut se passer beaucoup de rebondissements, il va falloir être patient et rester mobilisés.Vous avez vu le regard fuyant du petit caporal, aurait -il quelque chose à se reprocher?
SupprimerLui a bien compris que seul le lobbying était payant ; est-ce que la Vigie fait de même auprès du préfet ? Il vaudrait mieux compter sur l'intelligence de cet homme et lui prouver la pertinence des observations des opposants, plutôt que d'espérer une hypothétique solution de la part des tribunaux administratifs. On a pu voir ce que cela avait donné dans le passé sur d'autres projets destructeurs qui avaient fini par avoir leur aval.
RépondreSupprimerL'intrus , pas encore en situation de trop la ramener, même si ça le démange. Donc, ronge son frein au 2ême rang.
RépondreSupprimerMais , pas besoin de l'inviter, il s'invite et il s'invitera tout seul.
La Vigie
RépondreSupprimerOui vous avez bien compris que lobbying était payant dans le monde de la politique et de l’économie/profit au détriment des contribuables et contre la nature, cependant nous pouvons douter qu’une partialité du préfet soit obtenue par ces méthodes. Ne doutons pas de son analyse devant un rapport d’enquête non sincère et de son devoir de garantie de la légalité, mais il peut cependant avoir des doutes et décider de laisser les tribunaux administratifs juger de la légalité du projet.
Cela dit l’hypothétique n’est pas ‘’solution’’ mais ‘’résultat‘’ car là, le risque est énorme : les recours ne sont pas suspensifs. Autrement dit c’est la possibilité du passage en force : les travaux commencent et deviennent irréversibles avant que le juge ai statué sur le fond et même si des mois plus tard, le jugement prononce la condamnation du projet, ce sera trop tard.
En cas d’autorisation par le préfet c’est inévitablement l’action sur le terrain qui sera la sauvegarde pour combattre le passage en force du lancement des travaux que le promoteur n’hésitera pas à mettre en œuvre pour défier la procédure d’un recours en référé.
Bien que le préfet ne puisse prendre un arrêté d’autorisation tant que les documents d’urbanisme ne sont pas officiellement conformes, monsieur le préfet peut refuser la demande de DUP et motiver le rejet du projet dès à présent.
Pour cela il peut être utile que chacun lui adresse une lettre lui rappelant les risques mentionnés ci-dessus, c’est une contribution à la solution. Merci à toutes et à tous.
Mercredi 21h41
RépondreSupprimerUne émission sur la 8, la planète est elle foutue.
Avec la fonte des glaces, les océans vont monter de façon excessive.
Des villes côtières vont disparaître..
Avec Corinne Lepage, Jean Jouzel (climatologue) ...
Je vous en prie, regardez cette émission et faites la regarder à tous nos préfets, maires et tous les autres.
Des détectives européennes imposent aux ports des installations de récupérations des eaux noires (WC) et grises ( douches et éviers) des bateaux
RépondreSupprimerqui y sont accostés.Cette installation est elle dans les plans du port ???
Les boues de dragage de Seine en aval de Rouen sont passées au traitement et ça déjà depuis plusieurs années....
RépondreSupprimerPardonnez-moi, mais je ne comprends pas les tournures d'esprit de la Vigie. Admettre que dans la société actuelle, seul le lobbying auprès des politiques est payant puis dire que ce n'est pas cette méthode qui permettra de faire pencher la réponse du préfet,ensuite admettre que les recours administratifs ne sont pas suspensifs, qu'on risque un passage en force, et ensuite s'en remettre à la seule voie juridique pour obtenir gain de cause, tout cela me parait confus et contradictoire et m'amène à douter du résultat final.
RépondreSupprimerNon je ne pense pas que le lobbying auprès des politiques soit LA solution et ce n'est pas ce qu'admet La Vigie.
SupprimerS'il y a une leçon à tirer de l'action des "Gilets Jaunes", c'est que le désordre paie. Il n'y a pas de chef, pas d'organisation, de multiples revendications et des actions dispersées et, en final, ils obtiennent des résultats.
Il faut qu'on s'en inspire, pour contrer ce projet de port de plaisance, nous utiliserons tous les moyens à notre disposition, nous ne lâcherons rien, nos actions seront multiples, imprévisibles et viendront de partout, de La Vigie bien sûr, mais aussi d'autres associations, d'organisations politiques, de groupes d'opposition, de personnalités, ...
Le message de La Vigie est un message de motivation et de combat.
Qu'est ce qu'il est venu nous poluer l'air. Ce n'est que le maire d'un bourg de 4000 ames. Pour qui il se prend avec son projet de destruction de la nature!
RépondreSupprimerDepuis sa genèse, ce combat contre le projet de port est un combat politique. La politique, c’est la vie de la cité : je vous invite à lire Aristote. Ne pas l’accepter, c’est faire preuve d’ostracisme.
RépondreSupprimerEt comme nous vivons en démocratie, en tant que président d’association puis comme conseiller municipal, je n’ai cessé d’écouter, argumenter dans le respect d’autrui, le message de protection de ce site. Cette méthode avait porté ses fruits par le passé.
Le port n’est pas construit, à ce jour aucune autorisation ne peut le laisser supposer.
Spéculer ne sert à rien, attiser le feu pas davantage.
Plutôt que d’affirmer sans cesse que l’on détient la vérité, vivre sur ses acquis et fustiger ceux qui ne pensent pas comme nous, j’invite tous les opposants à continuer d’interpeller le plus grand nombre, susciter l’intérêt et convaincre [ en portant un message de tolérance ] qui ne peut que rendre notre combat plus audible et crédible.
Nicolas Ducos
Il n’empêche que l’arrêt de Notre Dame des Landes n'a été obtenu que par le force
RépondreSupprimerExactement, que l'aéroport Nantes Atlantique après quelques aménagements jouera très bien son rôle....
RépondreSupprimerPour rebondir, que le port de Saint-Gilles après quelques aménagements jouera très bien son rôle....
RépondreSupprimerNicolas Docos parlant de tolérance, lui l'ex spécialiste des opérations "coup de poing",décidément, on aura tout lu sur ce blog. Si "sa méthode politique" a porté ses fruits en 2011, pourquoi n'a t-il pas réussi en 2018 ? Sa position d'élu lui donnait autant de poids que sa présidence de la Vigie. Les arguments qu'il a présentés à l'enquête publique, étaient justes et très pertinents, comme beaucoup d'autres opposants. On peut même dire que les observations étaient de bien meilleures qualités qu'en 2011. Mais vous ne pouvez pas convaincre des personnages déjà endoctrinés par l'utilité d'un projet. Monsieur Ducos qui affectionne les citations, pourrait méditer celle de Baltasar Gracian: "Il est très difficile de se guérir de la bonne opinion de soi même"
RépondreSupprimerJe suis intimement persuadé que s'il était resté à la tête de la Vigie, nous n'en serions pas là.Et puisque vous parlez des opérations coup de poing,je souhaite bien du plaisir à ceux qui voudrait transformer la Normandelière en Notre dame des landes. Je leur rappelle qu'on a ici une population de retraités et que lorsqu'il a fallu se mettre devant les engins de chantier pour empêcher le comblement du plan d'eau, il n'y avait qu'une dizaine de personnes pour le faire.Bonne chance !
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