"La Normandelière demeure aujourd'hui vouée à la nature, à la promenade, à la plage, à un site de détente pour touristes et autochtones, avec la construction prévue du port de plaisance et d'un nouveau bassin de baignade en eau salée répondant aux normes actuelles de salubrité"
Le Journal des Sables, une nouvelle fois, au service de la bande à Christophe Chabot. Cette fois l'exercice est difficile : promouvoir à la fois le site de La Normandelière et son massacre !
Cet article n'est pas indépendant, c'est probablement une commande de la municipalité de Bretignolles qui veut effacer les traces de tout ce qui s'est passé à La Normandelière depuis 1 an et qui fait la publicité de La Normandelière pour sauver la prochaine saison touristique et pour tromper les estivants sur le devenir du site.
Cet article est cependant révélateur d'une évidence : l'importance du site de La Normandelière, tel qu'il est, pour ceux qui ont l'habitude de le fréquenter, et ces personnes-là n'hésiteront pas intervenir de nouveau si des travaux de destruction du site recommençaient.
La Normandelière ne serait pas demain, vouée à la nature, à la promenade, à la plage, à un site de détente pour touristes et autochtones si un projet de port de plaisance était réalisé à cet endroit, si des ouvrages portuaires détruisaient des paysages magnifiques, des plages, des promenades, des lieux de pêche, de loisirs, ...
Un petit rappel de 2011, plus que jamais d'actualité : Chabot et son emprise sur la presse locale
Une vidéo de La Normandelière du 4 juin 2020 : Merci Geneviève
Lire la suite dans Plus d'Infos
Journée mondiale de l'environnement - 5 juin
Compte-rendu du conseil municipal de Bretignolles du 25 mai 2020
À Saint-Hilaire, le restaurant Le Pilours ouvre ses portes ce vendredi midi
Lac de Caussade : les requêtes de France Nature Environnement rejetées par le juge des référés
Barrage illégal de Caussade : le tribunal administratif ferme les yeux - Réaction indignée de France Nature Environnement
Message reçu de la direction du Journal des Sables ce jour
Journée mondiale de l'environnement - 5 juin
Journée mondiale de l'environnement ... sauf pour la bande à Chabot bien sûr !
Le thème de la journée mondiale de l’environnement, le 5 juin 2020, est la biodiversité : c’est un appel à l’action pour lutter contre la perte accélérée d’espèces et la dégradation du monde naturel. Un million d’espèces végétales et animales sont menacées d’extinction, en grande partie à cause des activités humaines. La Journée mondiale de l’environnement nous invite à repenser la manière dont nos systèmes économiques ont évolué et l’impact qu’ils ont sur l’environnement.
Compte-rendu du conseil municipal de Bretignolles du 25 mai 2020
Le nombre de délégations attribuées à Frédéric Fouquet est impressionnant. Il ne faut plus parler de démocratie participative devant tant de pouvoir attribué à un maire qui a annoncé la couleur : la chasse aux opposants plutôt que la négociation
Le Courrier Vendéen du 3 juin 2020. À Saint-Hilaire, le restaurant Le Pilours ouvre ses portes ce vendredi midi
Lire l'article du 10 novembre 2017. Christophe Chabot protège son patrimoine familial et gaspille l'argent des contribuables
Le commentaire du 3 juin 2020 - 10H30 appelle interrogation
commentaire : "Le chabot, il a acheté le 06/12/2017 1500000€ (hors frais frais agence, notaire, ...) son restaurant et terrain ( 795m2 de local industriel. commercial ou assimilé, 700m2 sols, 5511 m2 de landes, 4100 m2 de jardins) il a du faire 300000/400000 euros de travaux. Il a donc, à la louche, dépensé 2M€ pour un restaurant et il veut nous faire croire que pour 30M€ on peut faire un port .."
Interrogation
La municipalité de Bretignolles a acheté 1 820 000 euros la ferme de la Normandelière pour l'incorporer dans un projet collectif, pourquoi la municipalité de Saint-Hilaire-de-Riez et la communauté de communes du Pays de Saint-Gilles-Croix-de-Vie n'ont-ils pas préempté l'ex-Club Saint Hilaire et ne l'ont-ils pas acheté pour un montant de 1 500 000 euros (un coût abordable pour la collectivité) afin d'intégrer ce site magnifique, soumis à la Loi Littoral (moins de 100 m), dans un projet collectif ?
L'intérêt général aurait dû prévaloir dans cette affaire et non des intérêts privés.
La Dépêche du 4 juin 2020. Lac de Caussade : les requêtes de France Nature Environnement rejetées par le juge des référés
La décision du juge des référés du tribunal administratif de Bordeaux donne ainsi une chance à la concertation de se poursuivre. À ce titre, les conclusions de la mission interministérielle, qui s'est déplacée sur site durant le mois de mai, sont très attendues.
FNE Environnement du 5 juin 2020. Barrage illégal de Caussade : le tribunal administratif ferme les yeux
Pour Arnaud Schwartz, président de de France Nature Environnement, « cette décision est incompréhensible et inquiétante. Alors que le Tribunal administratif considérait urgent de sanctionner ces dérives début 2019, il considère aujourd'hui que l’urgence a finalement disparu. Il renonce ainsi à sanctionner les nouvelles dérives survenues. La loi doit-elle être ignorée du fait de la désignation d’une mission d’inspection qui débute seulement ses travaux ? Je suis scandalisé de lire dans la lettre ordonnant cette mission, signée par 4 ministres, combien la régularisation du barrage est l’orientation choisie : c’est une véritable prime à la délinquance écologique. Quand l’ordre public sera-t-il rétabli et les sanctions appliquées ? Les associations poursuivront sans relâche leur travail de mobilisation pour que ce calamiteux précédent demeure sans suite et que la loi soit enfin respectée en Lot-et-Garonne, et partout sur le territoire. »
Commentaire :
Pour s'opposer à la délinquance écologique, quand la justice ne sanctionne pas, la force peut se justifier.
Message reçu de la direction du Journal des Sables ce jour
Petit rappel
1 - je ne relaie que les articles qui ont un rapport avec notre combat et je ne suis pas le seul à relayer des articles ciblés, les politiques locaux le font sans être inquiétés.
2 - nous n'avons pas les moyens de pression et les moyens financiers de nos adversaires, eux peuvent diffuser des mensonges dans les journaux, nous nous n'avons qu'à nous écraser, nous sommes des moins que rien
3 - je ne mets pas le Journal des Sables en péril, mais son directeur n'aime pas la critique semble-t-il ! Peut-être est-il aussi sous influence ?
4 - j'ai demandé l'autorisation de publier des articles ciblés du Journal des Sables à l'organisme cité dans le journal, je n'ai jamais eu de réponse
Désormais on diffusera des extraits
Avec un mur d'enrochement brise lame parallèle au rivage et de plusieurs centaines de mètres de long c'est claire que le site sera moins remarquable et avec le bruit des bateaux moteurs il sera moins détente!
RépondreSupprimeret que dire des scooter des mer qui ne manqueront pas d'envahir notre littoral, véritables nuisances sonores !
SupprimerLa presse locale se plaint de perdre des lecteurs mais avec ce genre d'articles que peut elle espérer ???
RépondreSupprimerCe que nous attendons de la presse écrite ce sont des articles de fond. Pour la "peoplisation" les chaînes d'information et internet s'en chargent....
La municipalité de St Hilaire à déjà
RépondreSupprimerla villa grosse terre sur les bras.
Personnellement, ça ne me dérange pas que l'ancien club soit redevenu un restaurant comme il y a plus de 40ans.
Avec ces enrochements,terminé les couchés de soleil sur l'horizon de la plage de la Normandelière et pour se déplacer sur la plage, compliqué avec le chenal.Bref, rien de bien...
RépondreSupprimerChristophe Chabot fait couper les branches d'arbres devant son resto coté mer pour que ses clients ont vus sur la mer par contre il veut mettre
RépondreSupprimerdes enrochements devant la plage de breti!!! Quoi de plus normal!!?
Un des commentaires relate le fait que C. Chabot s’est permis de couper des branches d’arbres devant son nouveau restaurant.
SupprimerC’est surprenant et affligeant.
Je m’explique.
Lorsque ce sont des Bretignollais qui coupent quelques branches d’arbustes au droit de leur maison face à l’océan, ils reçoivent une lettre d’injures.
Une épouvantable lettre d’injures, d’après la dame qui m’en parle encore et encore, « pire que si l’on avait tué père et mère ».
Un moins que rien
Anonyme de 5h39,
SupprimerVous pouvez vérifier en prenant le chemin qui longe la côte. Ces arbres sont au bord du chemin, gros élagage à la fin de l'hiver.
cc à aussi décidé que les gens seraient très heureux de se baigner dans un avant-port, fait unique !... Quoi de plus normal ?
RépondreSupprimerA la Normandeliere, nous avions un superbe lieu de détente pour tous.
RépondreSupprimerComment peut-on affirmer qu'un lieu, que l'on veut détruire par la construction d'un port, reste voué à la nature?
"Construction d'un nouveau bassin de baignade répondant aux normes actuelles de salubrité" Le lac n'a pas été détruit pour raison sanitaire, mais bien uniquement par le porteur du projet de port. Ce lac aurait pu rester en service le temps des études. Quant à l'école de voile,je pense que le lac des Morinieres, avec ses rats et ses ragondins, ne répond pas aux normes de salubrité.
Les journaux n'écoutent qu'un son de cloche.
entièrement d'accord avec vous (16h43) je ne comprend pas comment on a pu envoyer des enfants dedans !.. mais est ce que les contrôles sanitaires sont faits dans ce trou d'eau
RépondreSupprimerAucun contrôle sanitaire dans ce trou à rats
SupprimerVous faites une erreur car ce n’est pas la commune ni la com-com qui a demandé cet article. Le journal des Sables et la journaliste ont simplement raconté histoire et l’avenir possible de ce lieu.
RépondreSupprimerAllons Allons à qui allez vous faire croire cela!!!
SupprimerSi ce n'est pas une "commande " c'est au moins pour faire plaisir.....à la nouvelle municipalité
Il y a longtemps que j'étais point venu lire les propos tenus sur ce site!!! Je remarque que les cousins d'Idéfix sont toujours présents, fidèles à leur poste!!!!
RépondreSupprimer