La démission du gouvernement du ministre de l'Ecologie, François de Rugy, intervient au moment où le préfet de Vendée allait se prononcer sur le projet de port de plaisance de Bretignolles-sur-Mer.
C'est toute la stratégie de Christophe Chabot qui, une nouvelle fois, tombe à l'eau. Son lobbying auprès du ministre de l'Ecologie est à refaire.
Christophe Chabot a peut-être "les couilles en or" mais, concernant le projet de port de plaisance de Bretignolles-sur-Mer, il a joué la carte politique "De Rugy" et il a perdu.
Le préfet de Vendée sait que la décision qu'il devait rendre avant fin juillet 2019 est une décision politique, le projet étant couvert d'illégalités, et qu'il ne peut se prononcer sur le projet de port de plaisance de Bretignolles sans l'accord du ministre de l'Ecologie.
Sans nouveau ministre de l'Ecologie, pas de décision possible
Avec un nouveau ministre de l'Ecologie, il faudra du temps pour qu'il s'informe.
Il serait étonnant que la décision du préfet de Vendée ne soit pas repoussée
Petits Suppléments
Le Monde du 15 juillet 2019. Le dérèglement climatique aggrave la fragilité du littoral français.
Le littoral français est « pris entre deux vagues ». L’une vient de la mer, provoquant des phénomènes d’érosion et de submersion aggravés par l’élévation du niveau de l’eau. L’autre de la terre, sous l’effet d’une urbanisation croissante liée à l’attractivité démographique et économique. Ces mots de Philippe Grosvalet, président du conseil départemental de Loire-Atlantique, expliquent pourquoi le dérèglement climatique représente un enjeu majeur pour ces régions déjà fragiles
Ouest-France du 17 juillet 2019. L’association Bretignolles veut son port prépare sa fête
Les homards de Christophe Chabot sortent de leurs trous.
Une fête qui tombe bien !
Vu sur Twitter
Je rêve de faire d'autres croix
RépondreSupprimerCroix de bois croix de fer.....
SupprimerEt de plus Corine est à la page sur ce dossier!
RépondreSupprimermais peut être que De Rugy avait donné son accord signé les jours avant sa démission...n'espérons pas..
RépondreSupprimerYannick Jadot ministre de l'écologie, ce serait beau aussi
RépondreSupprimerOn s'amuse bien avec le feuilleton à rebondissements que vous nous proposez depuis un certain nombre d'années déja.
RépondreSupprimerLe préfet ne peut-il pas donner sa réponse pendant la vacance du ministère?
RépondreSupprimerPour certains " les couilles en or" et pour d'autres des nouilles encore....
RépondreSupprimerCe pourrait être amusant s'il n'y avait pas la menace d'un massacre environnemental.Moi,ça ne me fait vraiment pas rire.
RépondreSupprimerNe rêvons pas !
RépondreSupprimerLe feu vert a déjà été donné à Chabot lors de l'enquête publique, par le biais de l'avis positif émis le 30 mai 2018 par l'Autorité Environnementale dépendant du Ministère de l'Environnement.
Il ne faut rien attendre de ce coté là...
Bonjour à tous!
RépondreSupprimerEt la nasse s'est refermée sur le... Homard-gate.
Un politique qui se croyait au dessus des lois.
Un Politique qui a apporté son soutient de la manière la plus curieuse à un projet hors la loi!
Un politique dans la nasse.
- Dépenses fastueuses.
- Des histoires d’appartements.
- Des financements douteux.
- L'utilisation border-line des lois pour ses propres intérêts.
Ça ne vous rappelle rien?
Est ce que le préfet va suivre les recommandations de ce ministre passé à la trappe?
Le sujet n'est pas que politique il est aussi immoral! et ça ne peut pas et ne doit passer!
Quelques interrogations:
- Je m’interroge sur la mise en enquête publique du projet de port alors que le PLU n’était toujours pas passé ni validé.
Est ce que c'est normale de jouer d'une entourloupe de la sorte pour faire passer un projet illégal?
Qui sont les complices?
- Je m'interroge toujours sur la nomination d'un commissaire enquêteur lors de la seconde enquête publique sur le port et de sa proximité avec le sujet de part ses activités.
Est ce fonctionnaire de l'état qui à travaillé sur le projet de port dans le passé et dont une "très proche" travaillait à un haut poste à la préfecture?
- Je m'interroge aussi sur la manière dont le SAGE à donné un avis favorable à ce projet en complète contradiction avec ses orientations.
Quelques coups de téléphones suffisent parfois, dans ce cas là avons nous eu a faire à du simple lobbying, je ne la cois pas.
- Je me réinterroge encore sur la position ambiguë de la sénatrice, ancienne adjointe à l'urbanisme d'une commune proche et lieu de prédilection d'un gros promoteur.
Il suffit de regarder l'influence de ce promoteur dans la zone et les projets couverts par cette ancienne adjointe...
de sa condamnation dans l'affaire de l'achat de la ferme de la Normandelière, véritable scandale financier et politique.
Liste des interrogations est encore bien longue...
Les réponses se feront probablement devant les tribunaux, mais là il ne faudra pas jouer à l'autruche et les responsables seront coupables.
Bien cordialement,
S/A
"Des racines et des ailes"ce soir:Joyaux vendéens,des trésors à préserver sur le littoral;c'est Ouest-France qui le dit...
RépondreSupprimerComment l intérêt économique de la plaisance l emporte sur la nature qu' on devrait préserver pour les générations futures. Où iront ils à la plage ??? De l autre côté de la digue ?
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