Ouest-France du 22 juin 2018. La Région affiche son "ambition maritime"
Une "succession d'intentions" qui cache une volonté politique : toujours plus d'économie pour toujours plus de croissance quelles que soient les conséquences environnementales.
Ouest-France du 23 juin 2018. La Vendée a 96 millions d'euros pour la mer
Vendée.Fr du 22 juin 2018. Le Conseil Départemental de la Vendée se prononce pour un plan "Vendée Ambition Maritime"
TV Vendée du 21 juin 2018. Un nouveau plan Vendée Ambition Maritime
Des mesures pour mieux préserver l'environnement !!!! Peut-on les croire, les Boudelier et consorts qui défendent un projet de port de plaisance sur le site de la Normandelière ?
Lire l'article du 30 juin 2016. Le littoral vendéen : une richesse à exploiter !
Le conseil départemental de Vendée est toujours dans la ligne des années 70 : il ne faut pas sanctuariser le littoral, c'est une richesse à exploiter, oui à tous les projets de bétonnage du littoral, oui au port de plaisance de Brétignolles-sur-Mer, ....
Pour eux, la croissance bleue c'est le toujours plus de croissance économique et financière quelles que soient les conséquences sur le littoral.
Petits Suppléments
Conseil communautaire le 28 juin 2018 - voir ordre du jour
1 point mérite attention :
15 - Projet de port de plaisance de Brétignolles sur Mer – avenant n°3 au marché de maîtrise d’œuvre 2015-100
Lire l'article du 18 septembre 2015. La société BRL choisie pour couler définitivement Port Brétignolles
Christophe Chabot dit : "si le projet de Port Brétignolles n'aboutit pas, la commune de Brétignolles remboursera la communauté de communes". Des propos de fanfaron, ça signifierait que les contribuables locaux paieraient 2 fois : 1 fois pour les dépenses de la CDC et 1 fois pour le remboursement de ces dépenses !
Un seul responsable de la gabegie : Christophe Chabot et, lui, ne sera pas sanctionné financièrement.
Site Localtis.fr du 22 juin 2018 : Loi Biodiversité : le bilan des députés, deux ans après
Compensation écologique : plus d'exigence
Leur suivi porte pour finir sur la compensation des atteintes à l'environnement (titre VI) et la séquence "éviter, réduire, compenser" (ERC, article 69). Pour Nathalie Bassire, dans ce triptyque, les mesures d'évitement et de réduction restent insuffisamment explorées. Le rapport suggère ainsi de renforcer le niveau d'exigence (et les effectifs) des services instructeurs dans l'étude des dossiers en matière d'évitement et de réduction, de permettre une spécialisation voire un agrément des bureaux d'études en matière de compensation pour garantir la qualité des études d'impacts fournies, de développer les formations sur la démarche ERC et de généraliser les comités de suivi des mesures de compensation.
Sud-Ouest du 22 juin 2018. Loi Littoral : Macron veut en finir avec les "aberrations"
Sans doute une rallonge pour le bureau d’études pour répondre aux recommandations de l’autorité environnementale
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