Le port de Brétignolles serait une "porte d'entrée de la mer vers les terres" dit désormais Christophe Chabot pour "vendre" son nouveau projet de port de plaisance cul-de-sac sur le site de la Normandelière.
Il n'y a pas que les touristes, les plaisanciers, qui entreraient dans les terres, près du centre de Brétignolles-sur-Mer !
Ouest-France du 16 février 2016 : Quand l’océan vomit nos déchets à Saint-Hilaire-de-Riez
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Localtis.info du 17 février 2016 : Loi Littoral : trente ans, et après ?
Courrier des Maires du 16 février 2016 : Le nouveau PLU
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Ouest-France du 17 février 2016 : Les éleveurs affichent leur ras-le-bol à Saint-Gilles-Croix-de-Vie
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Le nouveau décret
"pour toutes les procédures d’élaboration ou de révision générale en cours initiées avant le 1er janvier 2016, les dispositions issues du décret ne s’appliqueront pas, sauf si le conseil communautaire ou le conseil municipal adopte, au plus tard au moment de l’arrêt du projet, une délibération décidant que seront applicables au document l’ensemble des règles résultant du nouveau décret du 28 décembre 2015 (article 12-VI alinéa 1 du décret). Les collectivités disposent ainsi d’un droit d’option"
C'est le cas du projet de PLU de Brétignolles-sur-Mer en cours d'élaboration.
Ouest-France du 17 février 2016. Bientôt, le poisson aura sa ligne maritime Yeu - Les Sables d'Olonne
« Le projet a été monté pour transporter le poisson de bateaux sablais, bretons ou islais, qui pêchent au nord de l’île d’Yeu et qui débarquent leurs prises à la criée des Sables », explique David Bossard, l’armateur.
La mise en place du projet se fait en liaison avec la chambre de commerce et d’industrie de Vendée, les organisations professionnelles des pêcheurs et les mareyeurs.
L'article complet.
Jean-François Biron, le valet de Christophe Chabot, a du souci à se faire, des armateurs, en lien avec la CCI de Vendée, les organisations professionnelles de pêcheurs et les mareyeurs, misent sur la criée des Sables d'Olonne.
Christophe Chabot, en écartant la CCI de Vendée de la gestion du port de pêche de Saint-Gilles-Croix-de-Vie, met la criée de Saint-Gilles-Croix-de-Vie dans une situation d'infériorité par rapport à la criée des Sables d'Olonne.
Les pêcheurs de Saint-Gilles-Croix-de-Vie, qui ne sont pas menacés, choisiront de débarquer leurs poissons là où est leur intérêt, là où le marché est le plus intéressant pour eux. Ce n'est quand même pas Jean-François Biron, le maire de la Chaize Giraud, qui va modifier les règles du marché !
Pour sauver la criée de Saint-Gilles-Croix-de-Vie (était-elle menacée ?), il fallait négocier avec la CCI de Vendée pas créer le clash et la séparation. C'est la CCI de Vendée, le véritable gestionnaire des ports de pêche vendéens, du débarquement du poisson entre les différentes criées, des accords avec les organisations professionnelles des pêcheurs et avec les mareyeurs.
C'est mon avis et je le partage.
Ouest-France du 17 février 2016 : Les éleveurs affichent leur ras-le-bol à Saint-Gilles-Croix-de-Vie
Un petit rappel avec beaucoup de nostalgie au moment où l'agriculture intensive est en pleine crise.
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