Sondages archéologiques, géotechniques, ... le secteur de la Normandelière n'en finit pas d'être sondé ... pour rien ! Des petits trous, des petits trous, encore des petits trous ....
Lire les articles du 17 juin 2009, du 29 juin 2009 et du 5 septembre 2009 sur les sondages géotechniques effectués pour le précédent projet, celui qui a subi l'échec cuisant de 2011.
Quelques réflexions
En 2009, le préfet de Vendée avait donné des autorisations administratives pour les sondages géotechniques réalisés par la société ARCADIS.
Aujourd'hui, il n'y a pas de trace d'autorisations administratives - sur internet - pour les nouveaux sondages géotechniques. La mairie est-elle vraiment propriétaire de tous les terrains concernés par les sondages ? La communauté de communes du Pays de Saint-Gilles-Croix-de-Vie, qui pilote le nouveau projet, n'aurait-elle pas dû demander des autorisations administratives pour sonder sur le territoire Brétignollais ? Le conseil municipal n'aurait-il pas dû être informé et donné son accord ?
En 2010, le compte rendu des sondages géotechniques de la société ARCADIS était très détaillé (voir le DOCUMENT) et donnait quelques indications intéressantes qui devraient alerter, même inquiéter, les promoteurs d'un nouveau projet de port de plaisance qui serait situé plus au sud par rapport au projet précédent, là où l'on rencontre des "microgranites ou des rhyolites altérés".
Si le projet de port de plaisance était autorisé, ce serait un festival d'explosifs, sur terre et en mer, pendant la réalisation, qui ne serait pas sans conséquences pour les résidences Brétignollaises situées à proximité et qui perturberait la saison touristique puisque les opérations de terrassement seraient réalisées quand les conditions météorologiques seraient favorables, en période sèche. (c'est dit dans le document)
Dans les conclusions du document de 2010, il est dit "les incertitudes géotechniques de site peuvent avoir une incidence certaine sur les méthodes d'exécution à retenir et le coût final des ouvrages géotechniques, il conviendra de prendre en compte ces risques géotechniques pour la mise au point du projet".
Les experts sont prudents contrairement à Christophe Chabot qui dit que son projet serait sans risques et que les coûts seraient maîtrisés. Un mensonge de plus !
En déplaçant son projet de port de plaisance plus au sud, Christophe Chabot augmente les incertitudes géotechniques.
Pour effectuer ce genre d'études, et si la commune est propriétaire des parcelles, une autorisation simple par courrier suffit. Pas besoin d'avis et de validation du conseil ni communautaire, ni municipal
RépondreSupprimerje me suis renseigné sur les travaux nécessitant de l'explosif en milieu marin chaque explosion quelque soit l'intensité donnera lieu a l'évacuation de plages a plusieurs kilomètres a la ronde effet de blast ( ps je sais pas l'orthographe sorry !!! ) pouvant tuer poisson voire humain si trop près !!! alors plus de baignade a breti car il faut savoir que ce genre de travaux ne ce fait pas l'hiver remarquez chabot aime pas les touristes lol donc no problem mais le debut de la fin pour breti
RépondreSupprimerLors d'une réunion publique à l'initiative de C. Chabot un certain mois d'Août, bien avant l'enquête publique, il n'était question, évidemment, que des bienfaits du port.
RépondreSupprimerLes gogos écoutaient béatement.
Néanmoins, quelques "moins que rien" étaient aussi présents.
Quelqu'un avait évoqué le fait que les explosifs pouvaient endommager les maisons voisines.
Le maire n'avait pas nié mais avait aussitôt déclaré que ce serait sans problèmes pour les victimes qui seraient indemnisées.
N'avait pas dit aux frais de qui.
Donc le maire connait les conséquences, ou tout au moins, en avait connaissance et il a du oublier.
Ah, aussi, si l'explosif tombe sur une veine de rhyolite, ce sont des maisons assez éloignées qui seront endommagées également.
le sujet de Thalassa ce soir : Littoral, un trésor français..
RépondreSupprimerrésumé : Tout au long de nos côtes le Conservatoire du littoral protège depuis 40 ans un patrimoine naturel et fragile. Ce long travail de préservation a porté ses fruits : 160 000 hectares sont désormais sous sa protection, soit 1 450 km de côtes...Le travail des agents du Conservatoire, filmés dans des paysages splendides, est bien expliqué. Cela réjouit de voir tous les territoires qu'ils ont sauvés de l'urbanisation
Tous ces territoires du Conservatoire du Littoral deviennent "le bien de tous" en étant soustraits aux intérêts particuliers. Et qu'est-ce que c'est bien ainsi ! Ils ne se sont pas dévalorisés pour autant, bien au contraire, puisqu'ils attirent ceux qui recherche "le vrai calme, la vraie nature, les vraies plages" ; et ces espaces préservés sont un important atout pour les villes et villages limitrophes.
SupprimerTrop de mentalités de petits barons locaux du littoral en sont encore à penser comme il y a 50 ans en arrière, ils ont bien du mal avec l'évolution du monde, des choses, de la société et n'ont pas beaucoup de capacité à s'adapter ni à innover ; on reste toujours dans les mêmes "dadas", les mêmes "ronrons", et les mêmes "plan-plan", la facilité qui vous vide le porte-monnaie mais pas la tête pour vous l'apaiser et la reposer...