"Sept mois après le vote, on sait désormais que pour sauver le port de pêche, la communauté de communes n'avait pas obligatoirement à prendre Port Brétignolles ... juridiquement. Mais politiquement, c'est une autre affaire, Christophe Chabot, le président de la communauté de communes et maire de Brétignolles, en avait fait une condition siné qua non ... Exit, donc, le débat sur le port polémique."
Voir articles du 6 février 2015 et du 7 février 2015.
Ce qui est révélé, aujourd'hui, par Ouest-France, nous l'avions dit dès le début, en février 2015, au moment du vote de la nouvelle compétence : "gestion des ports existants ou à créer"
C'est clair, à la communauté de communes, les élus communautaires sont considérés comme des larbins, c'est Christophe Chabot qui fait des choix politiques, qui décide en fonction de ses intérêts personnels. Pour avoir les postes de responsabilité à la communauté de communes et les indemnités correspondantes, il faut suivre Christophe Chabot, les yeux fermés, sinon ....
Autres précisions :
La SEM, créée par la communauté de communes pour le développement et la gestion des ports du Pays de Saint-Gilles-Croix-de-Vie, n'a pas la capitalisation financière pour prendre en charge le projet de Port Brétignolles - voir article du 22 avril 2015 -
Quant aux "conséquences financières ... assez confortables" des ports de plaisance, que Christophe Chabot met en avant pour justifier ses choix politiques, il suffit de présenter l'historique de Port Médoc (un port référence pour Christophe Chabot) pour dénoncer une nouvelle tromperie. On pourrait aussi citer l'extension du port des Minimes, qui a coûté beaucoup plus que prévu à la collectivité locale.
Pour avoir des financements pour continuer les études sur son projet de port, qui n'est pas d'intérêt général, Christophe Chabot a trompé les élus communautaires et la population locale, avec la complicité de Jérôme Dénécheau, son DGS (Lui qui devrait savoir compte tenu de ses responsabilités, il fait semblant de ne pas savoir - voir Ouest-France - ).
Il y a d'autres sujets de division entre les élus communautaires qui sont liés à des décisions autoritaires de Christophe Chabot - exemple : le projet de salle de spectacle de Saint-Hilaire-de-Riez.
voir aussi l'article dans Ouest-France du 21 septembre 2015 - salle de spectacle : les élus ne sont pas au diapason.
Chabot tire ses dernières cartouches !
RépondreSupprimerAutrement dit çà passe ou çà casse !
Depuis longtemps on sait que chabot est dans l'illégalité la plus complète, à vouloir lier le sort du port de pêche de Saint Gilles à son projet merdique de port de Brétignolles.
Cela vient d'être à nouveau prouvé, même si le chaouch Denécheau prend fait et cause pour son maître ( On se demande d'ailleurs ce que fait ce fonctionnaire de collectivité territoriale à ce poste dans la mesure où sa première mission c'est de veiller à l'utilisation des finances de l'E.P.C.I. et qu'il fait précisément l'inverse ? Il va bien falloir un jour ou l'autre se poser la question de sa révocation ? ).
Tout cela commence à éveiller les consciences des autres élus de la com. com. ! Il est temps !
Car enfin, la ficelle est si grosse, qu'ils ne peuvent pas ne pas réagir !
Et c'est non sans plaisir qu'il faut reciter le raisonnement de chabot :
"Le port de pêche de Saint Gilles est tellement potentiellement déficitaire qu'il faut dans la SEM une source de revenus sûrs, dégageant des bénéfices : Un port à Brétignolles " ! Ben voyons !!!
A tous les élus de la com. com. et lecteurs de ce blog et à tous ceux qui ne l'ont pas encore compris, dites-vous que c'est de la fumisterie !
Bien que chabot ait tenté de prouver le contraire en 2011 avec l'aide du faux témoigne du directeur de Port Médoc, il faut savoir que Port Médoc, dernière création de port de plaisance en France en 2004, s'est retrouvé après 5 ans d'exploitation ( en 2009 ) avec 30 millions d'euros de déficit et que la clé aurait été mise sous la porte, s'il n'y pas eu l'intervention financière de mécènes pour combler le trou !!!
Alors posons-nous la question simple :
Pourquoi un port à Brétignolles, lui, dégagerait des bénéfices aussi importants, de nature à combler le déficit du port de pêche de Saint Gilles ? sans compter qu'il ne faut pas avoir la tête enflée :
Brétignolles, n'est quand même pas le Médoc, économiquement ! soyons sérieux !
Sans compter également que de 2004 à 2009, la crise économique n'était pas encore apparue !
C'est la seule question qui vaut d'être posée Messieurs les élus de la com. com. !
L'autre grosse tromperie de Chabot
RépondreSupprimerEst de faire croire que les bénéfices supposés des ports de plaisances viendraient compenser et combler les déficits du port de pêche.
Cela a été déjà souligné sur ce blog et il est bon de le rappeler:
Cela est impossible car interdit par la loi.
Les bénéfices d'un port de plaisance ne peuvent être réinvestis que dans ce dernier et lui seul. Les vases communiquant entre deux ports de plaisances étant tout pareillement proscrits, chacun ayant un budget propre.
Et cela est encore plus vrai avec le saucissonnage mis en place par le même Chabot! La SEM mise ne place n'aura la compétence que sur le port de pêche.
Depuis le début et nous l'avons dénoncé tout ceci n'est qu'entubages et mensonges au service de la mégalomanie maladive de Chabot.
Il serait temps que les élus ainsi menés dans la farine redescendent sur terre et étudient pour une fois les dossiers qui leur sont soumis.
Avec Chabot tout est possible, surtout le pire.