Normandelière et les opposants demandent l'abandon du projet

Ouest France du 30 juin 2015 - Port Brétignolles. La Vigie demande l'abandon du projet.

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Petit Supplément

Ouest-France du 30 juin 2015 - Brétignolles-sur-Mer. Les sauveteurs en mer recherchent volontaires pour son antenne.

Christophe Chabot fait tout pour laisser croire que son projet de port de plaisance est sur les rails : achat ferme Normandelière (en cours d'annulation - attente de la décision de justice), saccage de la zone humide et des haies bocagères, détournement du réseau d'assainissement, fouilles archéologiques préventives, suppression du plan d'eau de la Normandelière, élimination d'une coupure d'urbanisation dans le projet de PLU de la commune et, maintenant, mise en place d'une antenne SNMS !
Il a obtenu l'accord complaisant du président de la SNMS (voir l'article de Ouest-France du 28 juillet 2014) pour monter une antenne SNMS sur le site de la Normandelière en 2016 afin de s'entraîner en attente d'un port de plaisance ... à Pâques ou à la Trinité !
On recherche des volontaires !
Quel intérêt de s'entraîner dans l'anse du Repos ? Avec un port sur le secteur, la configuration serait totalement différente.
Qui va financer cette opération ? La commune de Brétignolles-sur-Mer ou la communauté de communes du Pays de Saint-Gilles-Croix-de-Vie ?

Petite remarque

En attendant la décision de justice sur l'achat de la ferme de la Normandelière, c'est la commune qui reste propriétaire de la ferme et des terrains associés. Pourquoi n'y a-t-il aucune communication sur la procédure judiciaire en cours ?
Christophe Chabot joue la montre, il sait qu'il faut beaucoup de temps, des années, pour que les juges rendent leurs décisions. Il espère pouvoir obtenir les autorisations administratives pour son projet de port de plaisance et lancer les travaux de réalisation avant que les juges ne rendent leurs décisions sur tous les recours administratifs qui pourraient être intentés.
Une fois les travaux lancés, quelles que soient les décisions des juges, Christophe Chabot fait le pari qu'il sera très difficile de revenir en arrière. Les entrepreneurs de la maternité porcine du Poiroux font le même pari.