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dimanche 29 mars 2015
Normandelière et il vous ment dans les réunions de quartiers
Journal des Sables du 26 mars 2015 : Echanges citoyens entre Brétignollais : Beaucoup de monde lors de l'ultime réunion de quartier.
Christophe Chabot fait, une nouvelle fois, dans la communication mensongère en affirmant : "le calendrier du port de plaisance prévoit une enquête publique en fin d'année".
L'occasion est bonne de rappeler quelques vérités.
¤ Pour un tel projet, où de nombreux résidents secondaires seraient concernés, le Préfet de Vendée ne pourrait lancer une enquête publique qu'en période estivale, comme en 2011. En aucun cas, ce ne pourrait être avant l'été 2016.
¤ Puisqu'il y a, semble-t-il, nouveau projet, il faudrait qu'il y ait nouvelle étude d'impacts. A la date d'aujourd'hui, nous n'avons pas connaissance de marché de maîtrise d'oeuvre concernant ce nouveau projet. Mais, peut-être, existe-t-il des opérations secrètes qu'on cache à la population !
Faut-il rappeler les engagements de Christophe Chabot de 2013 : conforter le besoin en anneaux portuaires sur le littoral vendéen et conforter le dossier économique (page 4 - Paroles de Brétignollais de mars 2013). Les résultats de ces études n'ont jamais été publiés en 2013, ont-elles été réalisées ?
Faut-il marteler que les seules opérations, liées au projet de port, réalisées sur le site de la Normandelière après accord de la municipalité, ont abouti au saccage du plan d'eau. Ces opérations n'avaient pas de caractère d'urgence et auraient pu attendre les résultats de l'enquête publique sur le nouveau projet.
Faut-il mentionner que ce n'est plus la commune qui a la main sur le projet de Port Brétignolles mais la communauté de communes du Pays de Saint-Gilles-Croix-de-Vie après le transfert de compétences validé en conseil municipal (conseil municipal du 11 mars 2015)
Faut-il insister sur le fait qu'un deuxième port de plaisance sur le canton de Saint-Gilles-Croix-de-Vie n'est pas justifié dans le contexte actuel de crise économique et pourrait même mettre en danger Port La Vie.
¤ Le point le plus important : La mise en enquête publique d'un nouveau projet de port de plaisance sur le site de la Normandelière ne pourrait avoir lieu qu'après la validation administrative du PLU (Plan Local d'Urbanisme) de la commune SINON ce serait le POS (Plan d'Occupation des Sols) de 1998 qui serait la référence. Dans ce cas, il y aurait forcément une enquête publique, comme en 2011, pour la révision du POS sur le secteur concerné par le nouveau projet. Cette révision du POS de 1998 aurait beaucoup de mal à déboucher sachant qu'elle s'attaquerait à une composante fondamentale de la Loi Littoral en proposant la suppression d'une coupure d'urbanisation existante entre Brétignolles et Brem-sur-Mer.
Faut-il rappeler que le projet de PLU de Brétignolles-sur-Mer est loin d'être validé, qu'il n'est pas acceptable en l'état et qu'il ferait l'objet de nombreux recours administratifs si le projet, qui nous a été présenté, allait à l'enquête publique.
Parmi les autres grands projets en cours d'élaboration, il y a le projet de SCoT du Pays de Saint-Gilles-Croix-de-Vie très contesté, le projet de PPRL du Pays de Monts qui , dans sa version actuelle, ne prend pas en compte l'emprise d'un port de plaisance à Brétignolles-sur-Mer et ses conséquences, le projet de SAGE Auzance Vertonne en cours de finalisation.
Port Chabot, Digue Oudin, …. certains de nos élus tentent de prendre possession du littoral pour des aménagements d'intérêts personnels.
Ces élus sont des prédateurs du littoral qu'il faut combattre
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Lettre du Préfet de Vendée du 24 mars 2015 suite à une question écrite relative aux travaux en cours sur le secteur de la Normandelière
La même lettre a été envoyée à tous ceux qui ont posé la question au Préfet de Vendée, le l'ai reçue, à mon domicile, ce jour.
La lettre du Préfet de Vendée du 24 mars 2015
Contrairement à ce que fanfaronne Christophe Chabot, le Préfet de Vendée dit "qu'il n'est pas possible, à ce jour, de se prononcer sur la période de l'enquête"
Pour le reste, la position du préfet est inchangée : attente de nouveaux dossiers de port complets et recevables pour décider d'une nouvelle enquête publique, les travaux constatés actuellement sur le site de la Normandelière entrent dans le cadre d'une demande du maire de Brétignolles-su-Mer désirant anticiper, comme il en a la possibilité, le diagnostic archéologique.
Petits Suppléments
France 3 Aquitaine du 28 mars 2015 - La voix est libre - Réchauffement climatique
Ouest France du 28 mars 2015 - Loi Littoral. Le PLU de Plouvien partiellement annulé !
L'efficacité de la Loi Littoral.
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Chabot ment tout le temps,Jean-Yves,pas que dans les réunions de quartiers ! Ce n'est pas un scoop,hélas.
RépondreSupprimerChabot ment tout le temps, c'est vrai que ce n'est pas une nouveauté ! mais quand même sur ce coup là il n'a pas peur de se ridiculiser ?
RépondreSupprimerTout le monde sait que l'enquête sur son nouveau projet de port (s'il y en a une un jour ? ) ne pourra pas se dérouler à la fin de l'année, mais avec un aplomb sans pareil il balance çà à ses fans !
Si cette attitude ce n'est pas se foutre de la gueule du monde, je n'y comprends plus rien !
Comment les Brétignollais peuvent encore croire ces balivernes ? C'est un mystère !
Y a t il un seul endroit en France ou il y a eu une deuxième enquête publique pour un projet ? et qui plus est ou le résultat de cette 2è enquête publique aurait été différent de celui de la 1ère.
RépondreSupprimerOui, cher 15h27, mais avec un projet substantiellement différent à la seconde enquête !
SupprimerEt au final avec un avis favorable, alors que celui de la première enquête était défavorable !
Mais dites-vous qu'un maître d'ouvrage peut toujours présenter des projets successifs, autant qu'il le voudra, aux frais du contribuable bien sûr, c'est le droit qu'il a.
Par contre, il n'a pas le pouvoir, comme le laisse entendre Chabot, d'influer sur le résultat des enquêtes ou de négocier avec l'administration, comme le disait le célèbre sénateur Merceron !
Un maître d'ouvrage décide du projet avec son conseil, mais ne décide pas de la faisabilité du projet, çà, çà lui échappe complètement !
S'il y a nouvelle enquête publique, il y aura nouveaux commissaires enquêteurs qui ne désavoueront pas leurs prédécesseurs.
SupprimerCe sont tous les commissaires enquêteurs qui ont été humiliés par les attaques, les injures de Christophe Chabot fin 2011, ils ne lui feront pas de cadeaux.
Si le projet est complètement différent et qu'il respecte les lois protectrices de l'environnement et les règles sur l'Utilité Publique d'un projet, de nouveaux Commissaires enquêteurs peuvent très bien, non pas désavouer, mais émettre un avis différent puisque le projet serait, dans ce cas, différent.
SupprimerIl faut donc attendre de connaitre l'hypothétique nouveau projet de port.
Pour ce qui est des insultes, chabot en 2011 s'est comporté en pauvre type ! la leçon a été suffisamment dure pour lui (excuses publiques devant 1 000 de ses administrés ! ) et je ne pense pas qu'il recommencera !
merci aux parisiens ou aux non vrais vendéens de profiter de leur retraite, pour avoir voter pour quelqu'un qui souhaite bétonner le littoral..les communes du bord de mer perdent leur identité, et malheureusement, cela s'accélère grâce aux retraités parisiens qui achètent à tout va, cela augmente le prix des terrains et maisons, et les jeunes locaux, faute de moyens, s'échappent vivre dans les communes dans les terres...et on voit le résultat !!!!
RépondreSupprimerNe pas mettre tout les parisiens dans le même sac. Certains se comportent en vrais Vendéens d'adoption et sont fiers de l'être devenu.
SupprimerIl était assez intéressant de voir le nombre de véhicules immatriculés hors Vendée sur le parking devant les bureaux de vote.
SupprimerCe sont les résidents secondaires qui viennent à Brétignolles un mois maximum dans l'année qui plébiscitent les aménagements de Chabot. Ils veulent des aménagements de loisirs pour leurs vacances, un port de plaisance par exemple.
SupprimerLa majorité de ceux qui habitent toute l'année à Brétignolles ne veulent pas de port de plaisance.
Les projets d'aménagement durable sont faits pour ceux qui vivent là toute l'année.
Cher anonyme de 22h53, le phénomène que vous déplorez a été annoncé depuis due ans par les démographes et les statisticiens. Il n'est qu'au début de son développement. Il devrait s'étendre sur les trente ans à venir.
SupprimerVos observations concernant la possibilité de vivre au pays pour es jeunes sont justes. Je vous suggère de regrouper autour de vous des familles rurales du littoral, et de monter un groupe de pression pour faire entendre votre appel au secours. Intervenez lors des remaniements de PLU et autres SCOT, allez dans les conseils municipaux en fonction de l'ordre du jour, battez-vous. Réclamez des logements sociaux, des réhabilitations de logements pour jeunes ménages, des accessions à la propriété réservées aux jeunes résidents locataires. Faites pression aussi sur les établissements financiers locaux.
Soyez aussi lucide : le problème que vous évoquez, les habitants de Jersey, paradis fiscal britannique au large de Saint-Malo, y sont aussi confrontés ! Phénomène tragique de l'attractivité de certaines zones d'habitation lorsque le foncier n'y est pas encadré…
Notre destin nous appartient. Trop souvent, nous l'oublions. Le combat collectif n'est pas vain.
Ne mettez pas tous les parisiens dans le même sac. Je suis contre le port dépuis le début.
RépondreSupprimerVous voulez dire que tous les habitants de Bretignolles a l'année sont contre le port? Ce serait très bien, mais je n'en suis pas certain malheureusement. Tous les Bretignolais ont ils signe la pétition pour le plan d'eau. La non plus je ne crois pas, mais moi et toute ma famille Oui.
Jacques
TRES BIEN DIT LA MAJORITE DES BRETIGNOLLAIS SOUHAITENT LE PORT
SupprimerOUI je suis de la région IDF, OUI j'ai une maison à Brétignolles, OUI je veux y passer ma retraite et OUI je contre le port et ce depuis des années. Je ne suis pas sûr que ce sont les "parisiens" qui soutiennent ce projet débile. Il y a beaucoup de soit disant "brétignollais" qui soit disant aiment leur pays mais qui veulent bétonner. Et les arguments des "vrais brétignollais" pour défendre ce projet sont à mourir de rire....Vous savez, vous les "vrais vendéens" que le béton nous en avons et si vous l'aimez tant je peux vous donner des adresses. Si nous venons nous retirer sur un littoral encore préservé ce n'est pas pour voir ce paysage saccagé. Je serai toujours là pour défendre cette cote qui en plus ne vous appartient pas....
RépondreSupprimerOui, le trait de côte et la beauté du paysage n'appartiennent pas plus aux uns qu'aux autres et tous, élus pour quelques temps inclus, avons le devoir impérieux de les préserver.
SupprimerNon aux clichés éculés !
RépondreSupprimerIl y a toujours le même piètre anonyme (du 30/03 à 13h05) qui s’auto persuade qu’en assommant ses éructions en lettres capitales elles seront plus crédibles! Tout n’en apportant pas, comme d’habitude, le moindre argument pour soutenir ses inepties.
Réduire le combat pour ou contre le port au fait d’être Brétignollais ou résidents secondaires, eux même réduits par certains à « Parisiens », est un non sens et une erreur monumentale.
Il y a ceux qui défendent un concept qui a fait la singularité de Brétignolles : « la mer à la campagne » d’où qu’ils soient, d’où qu’ils viennent.
Ceux sont eux les véritables amoureux et défenseurs de Brétignolles.
Et nous sommes nombreux sur ce blog ou à la Vigie à le prouver.
En ne figeant certes pas l’existant, mais en faisant en sorte de l’améliorer.
Tout le contraire de ce que Chabot entreprend depuis le début de ses mandats.
Et puis il y a les autres,
spéculateurs en tous genres, de Brétignolles ou d’ailleurs, qui ne pensent qu’a leurs profit à court terme grâce à telle ou telle opération immobilière ou urbanistique.
Ceux sont les mêmes qui ont bétonnés nos côtes depuis les années soixante et dont on peut constater les méfaits.
Aujourd’hui il est toute fois rassurant de voir que les lois ont évoluées et nous protègent des dérives passées, avec le pouvoir régalien des préfets.
A ce titre la lettre du préfet du 24 mars est rassurante.
Dommage qu’elle n’est pas été publiée avant les pseudos réunions de quartier de Chabot. Il n’aurait pas pu tenir son monologue mensonger.
Avec Chabot tout est possible, surtout le pire.
Merci pour votre très bon commentaire anonyme de 13h.32.
RépondreSupprimerAnonyme du 29 mars 2015 22:53,
Si un jour votre santé nécessite un don d'organe ou une transfusion est-ce que vous chercherez à savoir si le donneur est un parisien ou un non vendéen ? et si c'est un parisien est-ce que vous refuserez qu'il vous sauve la vie ?
Si vous consultez à l'hôpital de st gilles, les sables ou la roche vous vérifiez si le médecin ou l'infirmier sont vendéens ?
Vous (ou un de vos proches) n'êtes jamais allé et n'irez jamais à Nantes, Angers, Tours... ou Paris pour un rdv médical avec un médecin non vendéen ou parisien,
ou encore pour y suivre des études avec des prof non vendéens...
Il serait grand temps de retirer les œillères. Un tel état d'esprit ne devrait plus exister il remonte au temps où il y avait beaucoup d'ânes en Vendée et qu'ils portaient tous des culottes pour être protégés des piqures d'insectes de l'ordre des diptères.
Oui mais voilà nous sommes tout de même en 2015 !
Heureusement j'ai de très bons amis Brétignollais qui n'ont pas une telle mentalité et qui savent reconnaitre que les estivants de France ou d'ailleurs font vivre Brétignolles et la Vendée.
je suis d'accord avec l'anonyme de 22h53 sur le fait que les communes du bord de mer perdent leur identité à cause des prix flamboyant des terrains et logements...cette hausse des prix est dû à la forte demande des retraités parisiens et d'ailleurs qui viennent s'installer sur la côte..ce qui entraine une délocalisation des jeunes ménages du coin qui partent s'installer où c'est moins onéreux, c'est à dire loin des communes de leur enfance et de leurs ancêtres...
RépondreSupprimerLes propriétaires qui ont commencé à vendre leurs biens à des prix flamboyants sur Bretignolles n'étaient-ils pas en majorité des Vendéens... qui en ont bien profité ?
RépondreSupprimeroui, mais pourquoi ont ils vendu leurs terrains ou leurs maisons à des prix flamboyants ?? à cause de qui ??
SupprimerIl n'y a pas de faux ou de vrais nrétignollais!
RépondreSupprimerCe sont des arguments a deux balles, juste valable pour la com. du maire de Brétignolles.
On est amoureux de Brétignolles ou on ne l'est pas!
On aime la cote et son littoral ou on ne l'aime pas!
Le fait d'habiter la commune ne présage en rien et ne donne pas de droits supérieurs aux autres! c'est du simple chauviniste ou du racolage électorale.
Alors a tous les amoureux de la cote Brétignollaise, Brétignollais ou non un seul mot d'ordre:
NON AU PORT!!!
et a ce projet pourri de bétonner les terres agricoles pour se faire du blé sur le dos des contribuables et surtout détruire le patrimoine de TOUS!
Ils avaient même pas vu quand ils on présenté leur pseudo projet minable que les bateaux ne passaient pas sous leur pont les gros noobs!
Je vais demander a ce qu'on édite : "Un PORT POUR LES Nuls"
NAP ne lâchez rien!!!
Sam Agace
Bien vu SAM, je reprends mots pour pour mots ce que tu viens de nous écrire!
RépondreSupprimerJe me demande ce que les bretignollais "de souche" feront des résidents secondaires une fois qu'ils n'en auront plus besoin pour lutter contre le projet de port.....? Peut être, leur trouveront ils des poux dans la tête pour les faire retourner chez eux et ainsi faire revenir leurs proches qui avaient "migré" vers les terres ...? Qui sait ?? Peut être vivront ils tous ensemble dans la paix et la bonne humeur ?? Vu les conneries racontées plus haut, cela serait bien étonnant... Alors il faudra bien trouver un autre combat pour ces "indigènes" qui ne vivent que pour les conflits et que par les conflits ...
RépondreSupprimerMerci Sam de ce commentaire !! D'autant que ça fait aussi le jeu de Chabot , ça doit le faire rire que tout le monde se cherche des poux ! Diviser pour mieux régner.. Une seule chose compte , rester concentré et uni , contre le port et tous ces projets annexes !!
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