Un nouvel esprit souffle sur la com'com. Il règne donc désormais "un climat à la fois détendu mais particulièrement productif" décrit le président". "En quelques mois l'ambiance de travail a changé". Mieux, "les tensions qui ont affecté le mandat précédent ont totalement disparu".
Christophe Chabot serait à la tête d'une com'com sereine, détendue, sans tension, ... pour combien de temps ?
Ce qui se passe à Brétignolles-sur-Mer arrivera bientôt à la communauté de communes, il ne peut en être autrement avec Christophe Chabot, le chef de bande (il se définit ainsi).
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Le trait de côte à l'heure du changement climatique
Les oies bernaches transitent sur l'estran de Brétignolles-sur-Mer
Le député Yannick Moreau ignore le projet de Port Brétignolles
Serge Pallarès défend les projets de ports exemplaires ne nécessitant pas d'infrastructures lourdes
Site ministère du 26 janvier 2015 : Entre terre et mer, le trait de côte à l’heure du changement climatique
L’enjeu pour les collectivités du littoral et l’État consiste à anticiper l’évolution du littoral en faisant des choix d’urbanisme et d’aménagement cohérents.
Il faudrait le souffler à l'oreille du maire de Brétignolles-sur-Mer.
Les oies bernaches transitent sur l'estran du Marais Girard
Il faut espérer que ceux qui "actualisent le dossier faune et flore", sur le site qui serait impacté par un projet de port, auront noté la présence de nombreuses oies bernaches, sur l'estran (voir aussi les photos de Nicole).
L'oie bernache est une espèce protégée
Le député Yannick Moreau s'engage personnellement sur des projets prioritaires pour la Vendée Littorale, il ne mentionne pas le projet de port de plaisance de Brétignolles. C'est dire si il y croît !
Serge Pallarès, président de la Fédération Française des ports de plaisance soutient les projets de port exemplaire "qui ne nécessitent pas d'infrastructures lourdes". Il a dû faire fausse route en passant par Brétignolles ! - voir article du 2 septembre 2014 -
Le Journal Le Marin du 23 janvier 2015 - Plaisance : Un nouveau concours pour des ports exemplaires.
Ce serait plutôt la Bernache cravant. A confirmer.
RépondreSupprimerNos concitoyens sont légitimement attachés à ces espaces qu’il importe de protéger » a souligné Ségolène Royal en installant avec Alain Vidalies, secrétaire d’Etat chargé des Transports, de la Mer et de la pêche, le comité national de suivi du trait de côte. Les enjeux sont très importants, particulièrement en France dont les façades maritimes sont nombreuses, mobiles, très sensibles aux effets du changement climatique, à la hausse du niveau marin et à la fréquence des tempêtes. Or, le bord de mer est le lieu préféré des Français, attirant prés d’une personne sur trois, avec son lot de pression démographique et foncière.
RépondreSupprimerCombien a t'il payé cet article pour ce refaire une moralité.Qui a écrit son discours ?
RépondreSupprimerDeux grands absents du papier sur le Pays de Saint-Gilles : l'écologie et la culture…
RépondreSupprimerPersonne n'en doute (dans ces milieux, au moins), sauf les gogos.
Sans parler de la Démocratie : Marlyse Kerjouan signale bien que la prétendue bonne ambiance n'est pas vérifiable, puisque tous les débats se déroulent en commission et pas en séance publique.
Ce genre de bémol vaut en règle générale désaveu, au moins partiel, du propos de la part de l'auteur. Autrement dit, Marlyse Kerjouan est tout à fait consciente du jeu de pipeau de Christophe Chabot… Mais tel qu'elle écrit l'article, Christophe Chabot ne peut rien lui reprocher.
Pour que Christophe Chabot soit crédible, il faut qu'il rende les débats publics. C'est ce que sous-entend aussi Marlyse Kerjouan.
Et cette remarque vient après le propos récent de Christophe Chabot sur l'élaboration des décisions, toujours en commission, dans les communes...
Conclusion : il est possible que les engueulades avec les aînés aient disparu. Il est possible que Christophe Chabot fasse maintenant figure de caïd. Mais il n'est pas certain que tout le monde apprécie, et que la résistance ne soit pas en cours d'organisation.
D'où l'avertissement de Christophe Chabot, qui craint - déjà ! - que le climat ne s'envenime avec les Départementales.
Si l'ambiance était si bonne, il aurait confiance.
Il faut savoir lire les papiers entre les lignes, pour comprendre la vérité.