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vendredi 21 novembre 2014
Normandelière et le troisième volet des impressions politiques de Nicolas Helary
Nicolas Helary, président de Vendée Ecologie, fait un bilan politique après le procès Xynthia et avant le délibéré du tribunal qui aura lieu le 12 décembre 2014.
Premier article diffusé le 7 novembre 2014 - Cause 1 : l'urbanisation en zone littorale.
Deuxième article diffusé le 14 novembre 2014 - Cause 2 : La croyance aveugle en la toute puissante ingénierie face à la nature imprévisible
Troisième article diffusé le 21 novembre 2014 - Cause 3 : L’absence de lien entre urbanisme, protection des biens et des personnes et protection de l’environnement.
Les risques littoraux à La Faute sur Mer ont été, selon les versions des acteurs du procès, « oubliés », « niés » ou « minimisés ». Plus globalement, on a laissé de côté, volontairement ou non, « la culture du risque ».
Quelle que soit la version que l’on préfère retenir, Xynthia nous a cruellement rappelés combien négocier avec le risque littoral pour pérenniser une certaine vision du développement économique, voire assurer les intérêts de quelques-uns, était dangereux. De ce point de vue, la catastrophe de Xynthia doit interpeller, au-delà de La Faute sur Mer, l’ensemble des communes littorales.
Créer aujourd'hui de nouvelles brèches dans le trait de côte, c’est s’exposer demain à une modification globale de l’environnement littoral. C’est-à-dire à plus ou moins long terme à une mise en danger des biens ou des populations.
La protection du trait de côte revêt donc une importance capitale. De ce fait, elle ne saurait être déliée de la question de la préservation de l’environnement littoral, au sens écologique du terme.
Préserver l’environnement littoral, c’est préserver l’intégrité des biens et des personnes le plus longtemps possible.
En outre, deux phénomènes avérés et liés au réchauffement climatique sont désormais à prendre en compte en matière d’aménagement littoral : la montée du niveau de la mer qui pourrait atteindre plus d’1 m d’ici la fin du siècle et la possible multiplication d’événements tempétueux exceptionnels.
Devant ces risques dorénavant connus de tous, la préservation des ouvrages naturels (dunes) ou artificiels (digues) de défense contre la mer est une priorité absolue.
Et dans cette logique, plus que n’importe quelle digue qui par définition peut se rompre ou être submergée, la souplesse structurelle d’une dune préserve mieux que tout ouvrage artificiel ce qui se trouve derrière elle. Les préserver est essentiel.
Pour cela, il ne faut pas déstabiliser leur structure naturelle en modifiant les courants par la pose d’infrastructures nouvelles (enrochements, digues…). Nous disposons maintenant de suffisamment de recul pour le savoir.
Peut-être cela entrainera-t-il à l’avenir, comme cela a été fait à la Faute sur Mer, la restitution à la nature de certaines zones littorales urbanisées ? En effet, protéger ces zones pourrait avoir pour conséquence d’en mettre d’autres, plus loin, en danger …
Xynthia doit permettre à tous les élus littoraux de prendre conscience que préserver l’environnement naturel de leur commune – quand il en reste encore… – est un impératif pour protéger à l’avenir les biens et les populations.
C'est un réquisitoire contre tout projet de destruction, de transformation, d'aménagement, de bétonnage du littoral, de destruction des dunes protectrices. Il faut que tout soit fait pour préserver, le plus longtemps possible, l'intégrité des biens et des personnes. N'est-ce pas un des objectifs de tous les documents territoriaux en cours d'élaboration (PPRL, SCoT, PLU, ..) ?
C'est un réquisitoire contre le projet de SCoT du Pays de Saint-Gilles-Croix-de-Vie, contre le projet de PLU de Brétignolles-sur-Mer et contre le projet de port de plaisance sur le site de la Normandelière.
Que Christophe Chabot, j'allais dire Dieu, l'entende !
Nous nous avons reçu le message depuis longtemps.
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Le Journal des Sables du 20 novembre 2014 relate le conseil municipal du 12 novembre 2014 et donne la parole au président de l'association syndicale des marais de la Gachère.
Journal des Sables du 20 novembre 2014 - Le port de plaisance évoqué au Conseil municipal. Les pour, les contre, tout le monde était là.
L'assistance était conséquente lors de la dernière séance du conseil municipal. Quelques délibérations avaient trait au projet de port de plaisance, ce qui avait motivé les opposants et les partisans à venir écouter les débats des élus.
Journal des Sables du 20 novembre 2014 - Association syndicale des marais de la Gachère. Daniel Rémignon prêche modernité et sérénité.
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Hélary est un imposteur qui mélange tout, ne prend jamais les bons exemples et essaie de justifier, mais très maladroitement, l'argent que ses mandats lui rapportent, notre argent de contribuables.
RépondreSupprimerOh ! paltoquet de chabot, on dirait que le développement de Mr Hélary vous gêne !
RépondreSupprimerVous avez en plus un drôle d'humour !
Et chabot lui, d'après-vous, comment peut-il justifier les dépenses monumentales qu'il fait sur les deniers publics ?
Vous êtes vraiment un type qui n'a pas ch... la honte !
Allez rentrez dans votre niche !
La logique des partisans du port : salir. Nicolas Hélary n'a aucun mandat. Et pour l'avoir souvent croisé à Brétignolles il est intègre, lui.
RépondreSupprimerDans la fébrilité de son anonymat, l'anonyme du 21 novembre à 21h21 s'est certainement trompé!!!
RépondreSupprimer"Chabot est un imposteur qui mélange tout, ne prend jamais les bons exemples et essaie de justifier, mais très maladroitement, l'argent que ses mandats lui rapportent, notre argent de contribuables."
...
voulait-il, sans nul doute, écrire!
...
a moins qu'il ne soit le bétonneur en chef de Brétignolles!