Journal des Sables du 12 juin 2014 – Acquisition de la ferme de la Normandelière. Le tribunal administratif annule la délibération municipale.
Dans le JDS, la municipalité de Brétignolles-sur-Mer et Nicolas Ducos réagissent, de nouveau, après la décision du Tribunal Administratif. Le JDS ne semble plus croire aux balivernes de la municipalité : "Un port verra-t-il le jour à la Normandelière ?".
Christophe Chabot et sa municipalité n'ont toujours pas retrouvé la raison, leur communication devient délirante. Dans le JDS, on lit : "... ce jugement conforte la position de la ville dans sa volonté de démontrer l'intérêt publique d'un port de plaisance à Brétignolles-sur-Mer. A la lecture du délibéré, la réalisation d'un port à la Normandelière n'est nullement remise en cause par le Tribunal administratif "
Le jugement du Tribunal Administratif ne concerne pas la réalisation d'un port à la Normandelière, c'est Christophe Chabot qui fait le lien !
Dans la fameuse plaquette (éditorial page 3) distribuée à tous les notables locaux, Christophe Chabot dit : "Le nouveau projet a, en effet, fait l'objet d'une approche minutieuse et globale (environnementale, économique, sociologique et touristique …) qui démontre incontestablement aujourd'hui l'utilité publique d'un port de plaisance à Brétignolles-sur-Mer".
Dans le JDS du 12 juin, la municipalité dit avoir "la volonté de démontrer l'intérêt publique d'un port de plaisance à Brétignolles-sur-Mer" !
Ils se prennent les pieds dans le tapis de leur communication délirante.
Lire la suite dans Plus d'Infos : le point sur les travaux à la Normandelière, avec photos.
Les travaux pour déplacer le réseau d'assainissement des eaux usées, afin qu'il contourne l'empreinte du bassin virtuel d'un port imaginaire, avancent à grands pas, sur des terrains agricoles n'appartenant plus à la commune de Brétignolles-sur-Mer (décision du TA de Nantes)
ça soulève de nombreuses questions :
Comment une municipalité a-t-elle pu lancer, en catimini, de tels travaux qui ne se justifiaient pas dans le cadre de l'amélioration du réseau existant mais dans le cas où un projet de port de plaisance verrait le jour sur cette zone, une situation impossible.
Comment le SIVS peut-il accepter de telles dépenses injustifiées, pourquoi la commune de Brem-sur-Mer n'a-t-elle pas mis son veto ?
Comment une municipalité peut-elle lancer de tels travaux, sans autorisation, sur une zone humide avérée et sur une zone devant faire l'objet de fouilles archéologiques préventives ?
Comment une municipalité peut-elle lancer de tels travaux sur des terrains agricoles faisant l'objet d'une procédure judiciaire en cours ? Serait-ce pour montrer, à la population estivale et aux crédules Brétignollais, que c'est le maire qui est le maître de la situation, qui décide ce qu'il veut sur sa commune en dehors de toute règle juridique ?
Que fait le Préfet de Vendée ? Est-il au courant de ce qui se passe à Brétignolles-sur-Mer, c'est ENORME.
Des photos du chantier prises le 13 06 2014
Journal des Sables du 12 juin 2014 : Le « Vieux JO » proteste
Le « Vieux Jo » n'aime pas l'aménagement du centre-bourg et le fait savoir.
Le " Vieux Jo " n'apprécie pas que la journaliste l'ait censuré en particulier sur les liens d'argent pouvant exister dans cette affaire.
Quel mérite J-Y d'arriver encore à faire des articles sur le sujet ! Pour ma part, j'ai l'impression d'être pris dans un tourbillon de folie furieuse qui me laisse sans commentaire.Arriver à un tel point de délire parait surréaliste. Comment les journalistes peuvent-ils encore supporter d'entendre de telles balivernes et les relayer dans leurs papiers. Comme disait Einstein "Je ne connais que deux choses qui soient infinies : l'univers et la bêtise humaine et encore pour l'univers, je ne suis pas sûr". A Brétignolles j'ai maintenant la confirmation en ce qui concerne la bêtise.
RépondreSupprimerLe "vieux Jo" est un sage, la mémoire de Brétignolles et il a raison; c'est laid, horriblement laid, surtout depuis l'extension de U. Ce prix n'est que le résultat de l'autosatisfaction de professionnels qui se congratulent entre eux en se disant bien qu'ils n'habiteront jamais là. S'il y a eu une consultation de la population elle a été très discrète et je n'en ai pas eu vent. Maintenant le bourg a perdu son âme par la faute de quelqu'un qui n'en a pas.
RépondreSupprimerCa suffit le bétonnage...Embellissez nos bourgs sans "faux sembants", faites ressortir la pierre des maisons anciennes, respectez les harmonies des constructions, refusez le plastique des clôtures et ouvertures, interdisez les peintures outrancières (jaune, orange, rouge etc...). L'artificialisation y'en a marre...Ayez du goût...
RépondreSupprimerc'est ce que fait le maire de la Chaize-Giraud et il le fait bien ( et pourtant je suis opposé sur sa méthode de gouvernance). Notre commune a reçu, l'an dernier, le prix de mise en valeur du patrimoine: fier d'être Chaizois
SupprimerExact, mais les particuliers participent aussi à cette réussite ( ex; maison "les volets bleus")
SupprimerIl est sûr que lorsqu'un Brétignollais passe à la Chaize-Giraud il a un pincement au cœur en voyant la beauté de la place de la mairie et son église et qu'il compare avec ce qu'est devenu le centre bourg de Brétignolles. Et qu'on ne me dise pas que c'est une vision ringarde.On peut aimer la modernité et vouloir conserver le charme de son patrimoine. Ceux qui veulent se lancer dans la créativité architecturale peuvent toujours aller à Cergy-Pontoise, à Créteil ou à La Défense!
RépondreSupprimerOn l'a vu depuis le début, le but du maire est de détruire au maximum toute trace de zone humide sur le site; ces travaux en sont la continuité. On aimerait un peu plus de communication de la vigie et surtout être rassurés sur la préservation des zones humides. Aux Brétignollais investis, merci d’avance !
RépondreSupprimerEn fait, le vieux Jo le sait-il? 3 projets avaient été retenus par le CAEU , Bretignolles, sainte Foy et Maché, des projets totalement différents , d'un coût allant de l'ordre de1 million d'euros à plus de 7 millions HT . Bretignolles est donc vainqueur.L'architecte est également lauréate pour une autre catégorie: aménagement du quai de Port Olona.
RépondreSupprimerEt si on se renseignait un peu plus sur cette architecte ?
SupprimerAvec plus de 5 millions d'euros depenses presque autant que pour l'amenagement du bourg, Christophe Chabot aurait pu concourrir pour le plus mauvais projet de port de plaisance !
RépondreSupprimerChabot pour agir et mettre en oeuvre ses malversations reçoit les conseils de fonctionnaires de collectivités territoriales, qui sortent là complètement et illégalement de leur rôle !
RépondreSupprimerMais ces gens là sont parfaitement identifiés et hélas pour eux, ils ne finiront pas leur carrière avec Chabot !
Je leur souhaite bien du plaisir lorsqu'il faudra qu'ils retrouvent une affectation, on va s'occuper d'eux pour leur tailler un costume sur mesure, si tant est qu'ils ne soient pas traduits devant une instance disciplinaire d'ici là !