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lundi 5 mai 2014
Normandelière et en mai bloque ce qu'il te plaît
Ouest France du 5 mai 2014 - Les Sables d'Olonne : Les conséquences de l'abandon du port à sec.
Article 1
Article 2
Après l'abandon du projet de port à sec des Sables d'Olonne, pourquoi pas l'abandon du nouveau projet de Port Brétignolles, fin mai 2014, quand l'annulation de la vente de la ferme de la Normandelière sera prononcée ?
Lire la suite dans Plus d'infos : un petit rappel de mai 2012.
Le plus grand port à sec d'Europe : coulé !
Le plus beau port à flot d'Europe qui aurait dû être présenté fin 2013 au ministre de l'environnement (au salon nautique de Paris) et dont la magnifique plaquette est restée au placard : coulé mais il ne faut pas le dire, ça ne fait pas plaisir à Christophe Chabot !
Petits Suppléments
Sud Ouest du 30 avril 2014 - Biarritz : "Arrêter d'aller contre l'océan, vivre avec lui", explique Hugo Verlomme.
"On ne peut pas se protéger de la mer, en construisant des digues ou des murailles comme au Japon. On ne peut pas aller contre la mer, il faut vivre avec elle. Ça veut dire redonner, dans certains endroits, l'espace tampon qui a toujours existé. Les anciens ne construisaient jamais en front de mer."
Ouest France du 5 mai 2014 - Nature à Saint-Gilles. Le comité de protection reste vigilant.
"Le trait de côte, les dragages, la réduction des déchets font partie des thèmes chers du CPNS qui incarne une sorte de sentinelle environnementale"
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Le grand problème d'une telle nouvelle, c'est qu'elle peut être interprétée à l'inverse de ta pensée, Jean-Yves : si l'offre des Sables disparaît, celle de Brétignolles est la seule restante, et d'autant plus pertinente ! Certains le pensent sans doute.
RépondreSupprimerSauf que faire ce dernier raisonnement est faux.
Le port à sec des Sables est un projet immédiat, viable techniquement, dont la seule incertitude est économique. Son abandon est la preuve qu'il n'existe pas de demande de port.
Car il n'y a pas de concurrence d'offre avec Brétignolles.
Le port de Brétignolles est hypothétique, fumeux, impossible écologiquement (un port sans rejets n'existe pas, or le port débouche dans une zone protégée ! un raisonnement d'élève de cinquième tue l'idée...), et sans utilité publique ! Il n'a donc aucune chance de pouvoir se faire, et les plaisanciers motivés ayant fait une demande à Brétignolles ont également des dossiers ailleurs. Donc, s'ils ne se bousculent pas aux Sables, ils seront encore moins nombreux à se maintenir à Brétignolles.
Vouloir croire qu'une demande de bateaux insatisfaite aux Sables relance la faisabilité du projet de Brétignolles est une erreur.
Au fait, personne n'a jamais contesté sur ce blog qu'il était impératif que les bateaux soient neufs dans le projet de port de Brétignolles. La preuve est faite que cet impératif est bien réel.
Enfin, il serait intéressant que Bruno Retailleau s'exprime à nouveau sur ces projets. Ses décisions et ses intentions sont d'une importance capitale.
Encore un article fait par un journaliste à la solde d'akéna pour titiller les opposants. Ils ne peut pas s'en empêcher de provoquer la bagarre c'est un malade. Il sait très bien que son port est coulé.
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