Dans la perspective d'une nouvelle enquête publique en août et septembre 2018, La Vigie informe le public et diffuse de l'information pour que chacun puisse réagir au projet de massacre du site remarquable de la Normandelière
La Vigie a réalisé un livret d'informations pour que chacun puisse mesurer l'agression d'un tel projet et puiser des arguments en vue de la prochaine enquête publique. Ce livret d'informations est aussi accessible sur le site internet de La Vigie. Il est disponible au point info du centre-bourg de Brétignolles le jeudi et le dimanche matins, jours de marché, et sera distribué dans les boîtes aux lettres des communes de Brétignolles, Brem, Landevieille et La Chaize deuxième semaine de juillet
Ne pas hésiter à faire circuler l'information
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Interdiction de destruction d'espèces protégées : le Conseil d'Etat précise les conditions de dérogation
Un restaurant en vue au Club Saint-Hilaire
Une loi sur l’érosion côtière à l’automne
Cabinet Gossement Avocats du 11 juin 2018. Interdiction de destruction d'espèces protégées : le Conseil d'Etat précise les conditions de dérogation
L'administration peut autoriser une dérogation à l'interdiction de destruction d'espèce protégée lors que les trois conditions distinctes et cumulatives suivantes sont remplies. Il convient de démontrer :
- l'absence de solution alternative satisfaisante,
- l'absence de nuisance pour le "maintien, dans un état de conservation favorable, des populations des espèces concernées dans leur aire de répartition naturelle"
- la justification de la dérogation par l'un des cinq motifs énumérés au nombre desquels figure " c) (...) l'intérêt de la santé et de la sécurité publiques ou (pour) d'autres raisons impératives d'intérêt public majeur, y compris de nature sociale ou économique, et (pour) des motifs qui comporteraient des conséquences bénéfiques primordiales pour l'environnement "
Un projet de port de plaisance n'est pas et ne sera jamais d'intérêt public majeur.
Le projet d'éoliennes en mer l'est, pas le projet de Port Brétignolles, les deux impactant un site Natura 2000 d'intérêt communautaire (ZPS protection Oiseaux)
Lire l'article du 10 novembre 2017
Si l'on comprend bien , les services de la communauté de communes doivent se prononcer sur un permis de construire déposé par une SCI familiale VUE MER gérée par Christophe Chabot pour aménager un restaurant situé sur la bande des 100 m !!!!
On ne doit pas être loin du conflit d'intérêt !
Stéphane Bern a dû abandonner la publicité Akena Verandas pour moins que ça !
Le président de la communauté de communes qui établit les règles territoriales au Pays de Saint-Gilles-Croix-de-Vie semble profiter de sa situation pour acquérir un restaurant avec vue sur la mer !
Avec Christophe Chabot tout est possible même le pire !
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Voir nouveau commentaire de Guy Perrette sur un article du 26 mai 2016
Vue Mer : circulez , y'a rien à voir
RépondreSupprimerMerci, monsieur Chabot, de nous montrer par vos agissements, que nous vivons dans une république bananière. J'espère qu'un jour les gens vont sortir du JT de 20 heures "lobotomisant". Merci, monsieur Bourcereau, pour votre blog exemplaire. Soyons assurés que cette fois ci, encore, nous remporterons la victoire car 200 mètres de différence, qu'est-ce que c'est pour un projet qui s'est écroulé sur le score 7 à 0.
RépondreSupprimerVuemercricri, la reine des sci
RépondreSupprimerLe restaurant de la famille = intérêt publique mineur... la com com est devenue leur boutique <>
RépondreSupprimerMais: intérêt privé majeur
SupprimerCertitude : les Bernés-non-non n'iraient pas s'y restaurer
RépondreSupprimerCette verrue devrait être rasée, un point c'est tout.
RépondreSupprimerCompte tenu de sa position sur le littoral,la collectivité aurait dû racheter le bâtiment au moment de l'arrêt de l'activité pour le raser ou pour en faire un centre culturel ou autre comme à Grosse Terre
Supprimerhttps://www.facebook.com/184354485077095/photos/a.216285198550690.1073741829.184354485077095/955148911330978/?type=3&theater
RépondreSupprimerCommentaire Laurent Boudelier, le maire de Saint-Hilaire-de-Riez : "L’ancienne discothèque du Club St Hilaire deviendra un restaurant en 2019 après de longs travaux.
Ce site exceptionnel, doté d’une vue imprenable sur la Mer, est un des marqueurs forts de la Corniche Vendéenne de St Hilaire de Riez". Ils pourront se faire des petits repas entre amis !!!
des repas ... sans dessous de table.
SupprimerChabot va y construire un héliport! ...pour sa clientèle de qualité!
SupprimerAvec Chabot tout est possible, surtout le pire.
Un reportage très intéressant ce soir sur France 2 . Comment la Vendee gère les problèmes d'eau pendant l'été. Création de réservoir d'eau dans d'anciennes carrières.
RépondreSupprimerAlors celle de Bretignolles ne va sûrement pas être comblée pour les beaux yeux de Chabot.
Vous avez tous le don de mélanger les affaires personnelles du maire avec vos convictions contre le port de Bretignolles ... Cela ne valorise pas votre opignon sur le sujet primaire de ce blog, ca le dévalorise même !
RépondreSupprimerVous devez faire un lapsus:le maire et ses amis pensent" au pognon" et "au pignon" sur une éventuelle marina .Nous,on a notre"opinion" qui ne repose pas sur le pognon.
SupprimerA anonyme du 19 juin 2018 à 21:49.
SupprimerVous êtes du genre de celui dont sa main droite ignore ce que fait sa main gauche.
Dénoncer les affaires personnelles, qui par ailleurs ne sont pas secrètes et même étalées sur la place publique, lorsque celles-ci sont en contradiction avec la loi et ici par exemple avec la loi littorale, n'est pas un mélange des genres.
Le dénoncer c'est monter que Chabot malgré ses belles paroles n'en a rien à faire de l'environnement, que ce soit pour son projet de port que pour son permis de construire dans la bande des 100 mètres.
Permis de construire qu'il va dans les faits s'auto octroyer!
Avec Chabot tout est possible, surtout le pire.
Anonyme du 19 juin à 21h49,
SupprimerMonsieur,
Vous devriez être prudent quand vous parlez de valorisation et de dévalorisation.
Eh oui ! par exemple :
Quand vous parlez d'individus (le maire et le cabinet BRL), qui prétendent et affirment pendant les enquêtes publiques de 2011, que l'eau contenue dans la carrière du Bréthomé provient des eaux de pluie, alors qu'à Brétignolles l'évapotranspiration annuelle est supérieure à la pluviométrie, çà c'est se dévaloriser, voire se ridiculiser.
Car si ces deux menteurs patentés avaient dit vrai à l'époque, il aurait du n'y avoir aucune goutte d'eau dans la carrière, mais cela c'était pour dissimuler le fait que l'eau n'était pas de l'eau de source !
Or, à cette époque la carrière était pleine d'eau claire à ras bord !
Donc, est-ce que çà ce ne serait pas se dévaloriser ? et vous à soutenir ces gens là ne seriez-vous point dans le même cas, en train de vous dévaloriser ?
Ma grand-mère disait autrement :
"Avant de l'ouvrir, il faut toujours tourner 7 fois sa langue dans sa bouche !......."
Ah, ce Boudelier...à la botte de Chabot ne pas contester ce projet d'autant que lui aussi en croque quant on fait faire des travaux illégaux (resto de Sion) aux frais du contribuable.Une vérole comme on dit chez nous.
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