Ci-joint, l'article complet du journal, l'interview de Serge Pallarès : Restructurer l'offre pour des bateaux plus grands.
Ce qui est vrai pour le littoral catalan est vrai pour notre littoral, il est donc intéressant de décortiquer les propos de Serge Pallarès
Comment pousser les ports à s'agrandir ?
"On atteint petit à petit le haut niveau d'équipement, on ne pourra pas créer 7000 places dans les Pyrénées Orientales mais il faut restructurer l'offre. Aujourd'hui on a une population de plaisanciers qui vieillit, la majorité d'âge est de 65 ans, il faut donc attirer de nouveaux pratiquants. Et parallèlement, la taille des bateaux augmente, les moins de 8 mètres sont voués à disparaître des ports. Ils pourraient être parqués sur des ports secs afin de libérer des places à quai pour les bateaux plus longs. On s'adaptera ainsi à la demande actuelle qui est celle de bateaux de plus de 12 mètres, parfois en multipropriété ou loués." ...
"Saint-Cyprien va réaliser une réhabilitation complète de son port, un projet urbain"
Serge Pallarès, président de la Fédération Française des Port de Plaisance, qui, pourtant, apporte son soutien à Christophe Chabot, met à mal le modèle du projet de port de plaisance de Brétignolles orienté vers les petites unités, un modèle, aujourd'hui, dépassé.
Pour répondre au déficit d'anneaux au pays Catalan, tous les projets proposés sont des projets de refonte de ports de plaisance existants avec un objectif d'intégration en milieu urbain.
Pourquoi n'y a-t-il pas de projet de refonte du port de plaisance de Saint-Gilles-Croix-de-Vie avec une meilleure intégration urbaine pour répondre aux besoins d'anneaux des plaisanciers locaux ?
Des articles intéressants de l'Indépendant du 16 avril 2018 sur serveur
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