Jean Toma assure que le développement de la plaisance n'est pas incompatible avec la préservation de l'environnement
Jean Toma, vice-président de la Fédération Française des Ports de Plaisance, président de l'union des ports de Corse, était présent à Brétignolles-sur-Mer le 4 septembre 2017.
Dans Corse Matin du 5 octobre 2017, il dit, pour justifier la construction de nouvelles infrastructures portuaires : "On n'est pas obligés aujourd'hui de faire des digues comme on les faisait il y a cinquante ans. Il existe des techniques qui permettent de construire des ports à l'intérieur des terres. Il y a même des ports qui sont des exemples de réalisations technologiques. J'en ai visité un récemment du côté de Nantes...."
Fanfaronnades, mensonges, ... tout est bon dans le monde du port pour manipuler l'information publique. C'est bien la mafia des ports.
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Artificialisation des sols : Nicolas Hulot lance un appel aux élus locaux
Une revue de presse de septembre 2017
Jean-François Biron, un élu Brétignollais !!!
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La revue de presse de l'UNAN (Union Nationale des Associations de Navigateurs) de septembre 2017.
Jean-François Biron élu brétignollais, certainement une coquille et même sûrement une coquille, mais on peut en rire en interprétant cela comme ce que pourrait être une prochaine fusion des communes.
RépondreSupprimerCertains faisaient voter les morts. De plus en plus fort, d'autres se servent des morts-jamais-nés.
RépondreSupprimerQuand toute cette mascarade sera enfin terminée, il y aura au moins un sacré bêtisier à conserver.
Vous n'êtes pas à un enfumage près et ça fait 15 ans que nous supportons vos mensonges.Le nautisme qui selon vous était en grand déclin et ce de façon irréversible se porte bien et, Bénéteau prévoit 500 embauche dont 400 en Vendée
RépondreSupprimerPort la vie reconnait une liste d'attente de 400 bateaux, confirmant ce que nous disons depuis toujours.
De cela vous ne parlez jamais, préférant mentir aux Brétignollais et à ceux de plus en plus nombreux qui soutiennent ce beau projet ( PORT BRETIGNOLLES),Honte à vous.
Heureusement, nous sommes prés du but, préparez vos mouchoirs car votre incompétence va enfin éclater au grand jour.
C'est beau la solidarité mafieuse!
SupprimerL'enfumage est plutôt du côté de Jean Toma, guignol corse aux nombreuses casseroles, qui ose relater publiquement sa visite d'un port qui n'existe pas.
C'est vrai qu'après cela essayer de sauver la crédibilité d'une fédération qui contrairement à son appellation n'a rien de nationale cela devient très compliqué.
Donc entre bétonneurs patentés aux pratiques maffieuses, l'expert brétignollais Soulier, dont on se doute depuis longtemps de sa réelle identité, vient avec ses gros sabots tenter de faire diversion, sans argumentaire et uniquement avec ses anathèmes préférés.
Mais il est vrai que pour ces gens-là l'analyse, la réflexion, la synthèse et le respect des lois est règlements, sont des processus inimaginables et invraisemblables.
Ce qui ne va pas dans leur sens n'est que mensonges!
Encore une fois une insulte aux 7 enquêtes publiques de 2011 et une provocation de plus.
Désolé pour Soulier mais ses lois si adorées du Far-West n'ont jamais eu cours chez nous et ne sont pas prêt de l'être malgré sa "morve" étalée.
Quant aux brétignollais·ses ils savent dorénavant que que le projet de port de Chabot ne serait enfin de compte qu'une décharge à bateaux dont on ne voudrait plus à Port la Vie.
Belle perspective!
Avec Chabot tout est possible, surtout le pire.
chabot -> sabot -> soulier c'est le même baratineur
RépondreSupprimerSoulier ne parle que de choses avérées et concrètes, industrie nautique qui refait surface, Bénéteau qui embauche, places manquantes à Port la vie.
RépondreSupprimerA coté de ça, vous nous parlez de Corse dont vous ne connaissez que le nom et dont tout le monde se moque, a chacun ses arguments mais nous avons depuis longtemps que la mafia c'est vous.