Maintenant le dossier est dans les mains des médiateurs (les services préfectoraux pour le port) pour vérifier que tous les scénarios (les alternatives pour le port) ont été étudiés.
C'est devenu tellement passionnel ... Très sincèrement personne n'est malhonnête dans ce dossier mais tout le monde n'a pas la même grille de lecture. Je ne suis pas en conflit avec M. Retailleau (qui défend le projet de port Bretignolles), je respecte son point de vue, je le comprends mais je ne le partage pas. Je veux que le dialogue et la raison l'emportent, sans violence verbale et encore moins physique.
On s'est dit : "il y a des champs de libre, allez hop on bétonne tout ça". Ce sont des logiques dépassées.
Petits Suppléments
Paris Normandie du 16 juillet 2017 . Le Havre - La plaisance, une activité en pleine mutation.
Entre crise économique et passion qui s’érode, le panorama des ports s’est profondément transformé. Les listes d’attente pour obtenir une place (un frein à l’achat d’un bateau) ont pratiquement disparu, sauf pour quelques catégories.
Lettre des services de l'Etat en Vendée de juillet août 2017 : Préserver la ressource en eau, un enjeu majeur pour la Vendée.
Mise en place d'un Plan de sécurisation pour assurer l'approvisionnement de zones particulièrement critiques sur les secteurs nord-ouest et nord-est de la Vendée.
Une des mesures du programme : l'utilisation de carrières en fin d'exploitation pour le stockage d'eau brute
Faut-il rappeler qu'il existe une carrière proche du bourg de Bretignolles, la carrière de Brethome, une réserve d'eau brute de 340 000 m3 que Christophe Chabot veut détruire dans le cadre de son projet de Port Bretignolles.
Si la ressource en eau est un atout majeur pour la Vendée, un préfet peut-il accepter cette destruction ?
Facebook du 17 juillet 2017
Pourquoi n'y aurait-il pas un passage public de bord de mer à la Parée ?
Les contribuables financent les digues de protection pour les propriétaires des maisons de bord de mer mais, en retour, n'ont pas de sentier pour longer la côte. Les propriétaires de maisons interdisent tout passage.
Voilà un projet pour la municipalité : obliger les propriétaires à céder une partie de leur terrain pour réaliser un passage public, une juste contrepartie.
Votre avis
Ouest-France du 18 juillet 2017
Lire un peu histoire sur les berges de la Gachere pages 39 et 40 du document.
Lire aussi les berges de la Gachere
Pour obtenir une place pour un huit mètres à port olonna il a fallu que j'attende six mois. Les listes d'attente fondent comme neige au soleil.
RépondreSupprimerL'argument sur le manque de place ne tient pas.
Cher anonyme de 15h02
RépondreSupprimerje me délecte de votre propos,puisque je fais parti de ces personnes qui font le constat d'une population de loueurs d'anneaux vieillissante.
Je pense que le phénomène est grandissant,et bien que notre tourisme maritime reste bien portant,l'heure n'est plus aux projets pharaonique.
Un projet substantiellement différent,respectant l'identité de la petite pèche et de la petite voile aurait put être recevable.
L'entêtement de notre "cher" maire nous coûtera donc énormément,il fait aussi barrage à un potentiel développement intelligent.
Jean Yves bonjours,
RépondreSupprimerUn article très intéressant dans le "Que Choisir" de juillet août 2017. Cet article évoque les menaces sur le littoral et Bretignolles est cité comme lieu vulnérable.
A lire, relire et méditer.