L'extrait concernant le dossier de SCoT mérite d'être cité :
Tout d'abord, Christophe Chabot attire l'attention sur le SCoT (Schéma de Cohérence Territoriale) dont il décrit l'évolution du dossier comme "la parfaite illustration des blocages administratifs qui entravent le développement de notre beau pays". Car le président rappelle que la Communauté de communes planche sur son SCoT depuis maintenant 2005. Ce long travail était récompensé, suite à l'enquête publique, par un avis très positif des commissaires enquêteurs, laissant penser aux élus que l'entrée en vigueur du schéma ne serait qu'une formalité. Le SCoT est approuvé en juin 2016 par le conseil communautaire, mais contre toute attente, les services de l’Etat formulent trois observations en septembre dernier.
La Communauté de communes doit se montrer plus restrictive, entre autres sur la réalisation de nouvelles zones d’activités économiques, "avec des conséquences inévitables pour l’attractivité de notre territoire. Nous ne sommes pas les seuls, d’autres intercommunalites en Vendée se trouvent dans des situations comparables" Pour le président, c’est la goutte d’eau qui fait déborder le vase, car l’élaboration du Scot représente "des centaines d’heures de réunions depuis douze ans. A ce jour, l’élaboration du SCoT a coûté près de 400.000€ à nos contribuables"
Agacé, Christophe Chabot dénonce "des élus nationaux qui ont abandonné le pouvoir aux administrations centrales, dépourvues de connaissance du terrain, qui imposent à la Vendée les mêmes règles d’urbanisme que celles applicables à des départements comme le Val d’Oise ou la Seine Saint-Denis"
Aussi, considérant que les marges de manoeuvre sont désormais très limitées, le président intercommunautaire menace : "Nous travaillons sur une ultime modification de notre SCoT, qui sera soumise à l’approbation du conseil communautaire le 9 février. Si on nous refuse cette dernière version, le SCoT sera purement et simplement abandonné ! Et l’Etat, puisqu’il le veut, décidera seul de l’urbanisation de notre territoire !
Trop c’est trop, et je n’accepterai pas de consacrer un euro de plus à ce dossier !"
Lire aussi l'article du 29 janvier 2017
Tout d'abord, Christophe Chabot attire l'attention sur le SCoT (Schéma de Cohérence Territoriale) dont il décrit l'évolution du dossier comme "la parfaite illustration des blocages administratifs qui entravent le développement de notre beau pays". Car le président rappelle que la Communauté de communes planche sur son SCoT depuis maintenant 2005. Ce long travail était récompensé, suite à l'enquête publique, par un avis très positif des commissaires enquêteurs, laissant penser aux élus que l'entrée en vigueur du schéma ne serait qu'une formalité. Le SCoT est approuvé en juin 2016 par le conseil communautaire, mais contre toute attente, les services de l’Etat formulent trois observations en septembre dernier.
La Communauté de communes doit se montrer plus restrictive, entre autres sur la réalisation de nouvelles zones d’activités économiques, "avec des conséquences inévitables pour l’attractivité de notre territoire. Nous ne sommes pas les seuls, d’autres intercommunalites en Vendée se trouvent dans des situations comparables" Pour le président, c’est la goutte d’eau qui fait déborder le vase, car l’élaboration du Scot représente "des centaines d’heures de réunions depuis douze ans. A ce jour, l’élaboration du SCoT a coûté près de 400.000€ à nos contribuables"
Agacé, Christophe Chabot dénonce "des élus nationaux qui ont abandonné le pouvoir aux administrations centrales, dépourvues de connaissance du terrain, qui imposent à la Vendée les mêmes règles d’urbanisme que celles applicables à des départements comme le Val d’Oise ou la Seine Saint-Denis"
Aussi, considérant que les marges de manoeuvre sont désormais très limitées, le président intercommunautaire menace : "Nous travaillons sur une ultime modification de notre SCoT, qui sera soumise à l’approbation du conseil communautaire le 9 février. Si on nous refuse cette dernière version, le SCoT sera purement et simplement abandonné ! Et l’Etat, puisqu’il le veut, décidera seul de l’urbanisation de notre territoire !
Trop c’est trop, et je n’accepterai pas de consacrer un euro de plus à ce dossier !"
Lire aussi l'article du 29 janvier 2017
Christophe Chabot ment sur les conclusions de la commission d'enquête
Christophe Chabot dénigre, comme à son habitude, les services administratifs qui n'y connaissent rien et qui empêchent les élus de développer leurs projets
Christophe Chabot menace d'abandonner le SCoT
Petit supplément
Site Reporterre du 2 février 2017. Les députés adoptent une loi pour nous préparer à la montee des eaux.
« Ce texte a été pris en otage, explique à Reporterre Pascale Got. Mais il n’est pas question de détricoter la loi Littoral. » Les députés sont donc revenus au texte d’origine, en supprimant les dispositions prises au Palais du Luxembourg.
Sud Ouest du 2 février 2017. Loi Littoral : retouchée mais pas coulée
Pauvre Cri-Cri, lui qui suit pourtant scrupuleusement tous les conseils de Monsieur le Préfet. C'est vraiment ballot. Ya pas qu'à Solesmes qu'il va devoir brûler des cierges. A la Préfecture en plus ! Un comble !
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