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jeudi 12 janvier 2017
Normandelière et la vidéo qui dérange à Saint-Gilles-Croix-de-Vie
Communiqué de presse du CPNS du 11 janvier 2017 - Objet : Incident du 11 janvier 2017. Rejets des dragages des ports de Saint-Gilles-Croix-de-Vie
Vidéo du collectif postée le 11 janvier 2017 et tous les commentaires associés.
Cette vidéo a été vue plus de 27 000 fois en 24 heures, c'est un sujet mobilisateur malgré le silence des médias locaux.
Voir aussi la vidéo montrant l'écoulement sur la plage.
Voir l'état de désolation de la dune après réparation
Nota :
Bruno Vincent voudrait nous faire croire à un nouvel acte de sabotage !
Comme dit Guy Perrette, ce qui est renvoyé, c'est du sable !
Communiqué Surfrider - Gardiens de la côte - du 11 janvier 2017 sur Facebook
Pas une information dans les journaux locaux de ce jour, pas un mot sur les facebook des responsables locaux, si le collectif "NON aux rejets à Saint-Gilles-Croix-de-Vie" et le CPNS n'avaient diffusé l'information, elle serait restée confidentielle.
Il faudrait vraiment que les responsables locaux, les services de l'Etat et les associations environnementales se mettent autour d'une table pour régler définitivement les problèmes de dragage des ports de Saint-Gilles-Croix-de-Vie, pour proposer des solutions pérennes qui ne polluent pas les plages et les dunes, ces solutions existent.
La communauté de communes du Pays de Saint-Gilles-Croix-de-Vie, qui gère les ports, a les ressources financières permettant de proposer des solutions d'évacuation et de traitement des boues de dragage qui seraient respectueuses de l'environnement.
Au lieu de prévoir un budget de plus de 1 500 000 euros pour les études d'un projet de port de plaisance qui ne verra jamais le jour, il aurait été préférable d'orienter ce budget vers les opérations de dragage des ports de Saint-Gilles-Croix-de-Vie.
Petits Suppléments
Le Monde du 12 janvier 2017. Le littoral français recule de manière accélérée
Les parlementaires examinent une proposition de loi pour permettre aux territoires de s’adapter à l’érosion. Le recul du trait de côte pourrait atteindre, par endroits, 50 mètres en 2050.
voir aussi le facebook de Annic Billon du 11 janvier 2017
"Le texte soumis ce soir et amélioré par les commissions du développement durable et des lois et bien évidemment par le rapporteur Michel Vaspart, sécurise et simplifie les dispositifs et laisse davantage de libertés aux collectivités.
Une remarque sur la loi littoral: je comprends la réticence de certains de mes collègues à l'évocation de son adaptation."
Le sénat adopte la loi sur l'adaptation du littoral.
Laisser davantage de libertés à la CDC du Pays de Saint-Gilles-Croix-de-Vie et à son président Christophe Chabot : ce serait suicidaire pour notre littoral !
Lors de la cérémonie des voeux 2017, Christophe Chabot a, une nouvelle fois, abusé la population locale en affirmant haut et fort que son projet de port de plaisance était légitime parce qu'il avait la légitimité démocratique !
La seule légitimité démocratique que lui confère son élection aux municipales de 2014, c'est celle de pouvoir gérer la commune de Brétignolles-sur-Mer dans le respect des règles de la République, en proposant des projets de développement durable.
D'autre part, il n'a certainement pas le soutien massif (85% de la population !) pour proposer un projet de port de plaisance d'intérêt général comme il le fanfaronne depuis le début.
56,5% de la population (résultat des dernières élections municipales de 2014), ça ne donne pas une légitimité pour un projet d'intérêt général !
Un projet de port de plaisance sur le site de la Normandelière ne sera jamais un projet d'intérêt général et de développement durable. Les 51 motivations de la commission d'enquête de 2011, dont les rapports toujours sur le site de la préfecture, sont là pour nous le rappeler. Ces rapports seraient versés à toute nouvelle enquête publique.
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Comment seront traitées les boues de dragage du futur port de Bretignolles ?
RépondreSupprimerNous avons du souci à nous faire quant à la qualité des eaux de baignade !
Pour des raisons d'économie, les boues de dragage étaient déversées au large de la Normandeliere dans le projet précédent, celui rejeté à l'enquête publique de 2011.
SupprimerS'il y avait nouveau projet, il faudrait que les boues de dragage des bassins portuaires soient traitées avant évacuation ou utilisation, ce qui aurait des conséquences financières au niveau exploitation.
et vu que ce sera un port fermé, 2 dragages par an au lieu d'un seul pour un port normal
Supprimeril serait peut être opportun que quelqu'un de st gilles aille remplir une bouteille des rejets pour analyse .
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