Ouest-France du 22 avril 2016 - Brétignolles-sur-Mer. Demain Brétignolles milite pour la remise en haut du lac
Lire l'article du 18 avril 2016. La DRAC ne bloque plus la réhabilitation du plan d'eau
Voir aussi le site internet de Demain Brétignolles
Ouest-France titre :
Les élus municipaux de Brétignolles-sur-Mer doivent remettre le dossier de remise en eau du lac de la Normandelière en haut de la pile pour les raisons suivantes :
La DRAC libère les terrains de la Normandelière, de nouvelles fouilles archéologiques ne seraient prescrites qu'au moment du creusement d'un bassin portuaire sur le secteur
Un nouveau projet de port de plaisance ne pourrait être mis en enquête publique que mi 2018, la remise en service du lac servirait le tourisme local pendant au moins 3 étés (2016 - 2017 - 2018).
Le coût de remise en service du lac (probablement entre 100 000 et 200 000 euros) est tout à fait supportable par la commune de Brétignolles-sur-Mer et une aide financière pourrait être demandée à l'office de tourisme du Pays de Saint-Gilles-Croix-de-Vie (voir article du Journal des Sables du 21 avril 2016)
La remise en service pour l'été 2016 est possible si la décision est prise, par la municipalité de Brétignolles, en mai 2016.
Il faut faire pression
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Site avenirpourbretignolles du 22 avril 2016. Où va l'argent public ?
Une nouvelle installation d'alimentation là où le maire prévoit un bassin de baignade
L'écolodge du Marais Girard fait port à sec !
Le Schéma départemental de coopération intercommunale de la Vendée
Site avenirpourbretignolles du 22 avril 2016. Où va l'argent public ?
A lire cet article on comprend que la remise en eau du lac de la Normandelière n'est pas un problème d'argent pour la commune de Brétignolles-sur-Mer qui a beaucoup gaspillé ...
Christophe Chabot en fait une affaire personnelle, ce n'est quand même pas ces opposants venus d'ailleurs qui vont lui dicter la marche à suivre !
Comme dirait le fameux Jean Bernard sur facebooK, Christophe Chabot a été élu pour faire le port de plaisance pas pour répondre aux autres demandes de la population !
Une nouvelle installation d'alimentation là où le maire prévoit un bassin de baignade.
Le maire avait dit qu'il n'investirait pas à l'endroit de son projet de port de plaisance et pourtant.... Des travaux ont eu lieu près des locaux de la ferme, pour installer une alimentation probablement eau - électricité, là où devrait être réalisé un futur bassin de baignade. Est-ce pour créer un nouvel emplacement pour la fête foraine ? Est-ce pour créer un nouvel emplacement pour des camping-cars ? Est-ce pour implanter la "sanisette" de BVSP à cet endroit ? ...
C'est la preuve que la municipalité ne peut pas attendre un projet de port de plaisance hypothétique pour répondre aux attentes immédiates du tourisme local. Et dans les attentes il y a aussi la remise en service du lac de la Normandelière.
L'écolodge du Marais Girard fait port à sec !
Le Schéma départemental de coopération intercommunale de la Vendée du 29 mars 2016
Politiquement très incorrect, mais:
RépondreSupprimerChabot a bien fait une médiathèque sur mesure pour son épouse!
Il peut bien réhabiliter le plan d'eau pour tous les Brétignollais(ses) et les touristes.
Avec Chabot tout est possible, surtout le pire.
Vu l'emplacement de l'alimentation électrique, je lance les paris... La sanisette de BVSP devrait changer de place cet été...La facture sera t-elle transmise à l'association ?
RépondreSupprimerVous gueulez comme des putois parce que la Com Com a fait une subvention de 20.000 EUR au festival la 7ème Vague; mais vous réclamez que la commune dépense de suite 100.000-200.000 EUR pour remettre de l'eau dans l'ancien plan d'eau qui a vocation à disparaitre.
RépondreSupprimerInexpérimenté et inconséquent Vincent !
SupprimerLe problème, c'est que 100 000 ou 200 000 euros pour remettre de l'eau dans l'ancien plan d'eau relèverait d'une raison d'utilité publique, c'est à dire remettre en état un bien public, dont le plus grand nombre peut avoir l'usage, tandis que, ne serait-ce que 20 000 euros, de subventions à une assoc. (qui ressemble plus à une officine politique de Chabot) ne relève en rien d'une raison d'utilité publique, mais d'un privilège accordé à quelques partisans de cet individu !
Et puis, les 100 000 ou 200 000 euros, c'est le fait même de la responsabilité de Chabot qui a détruit volontairement et sans raison, autre que son fantaisiste projet de port, un bien public.
Il devrait même sur ses propres deniers être condamné à remettre le lac en état ! C'est d'ailleurs ce genre d'exercice qui le conduira& un jour à "l'ombre"!
Un conseil jeune homme : Tournez là 7 fois dans votre bouche avant de l'ouvrir !