Nous connaissons, depuis novembre 2015, les résultats du diagnostic archéologique anticipé, demandé par la municipalité de Brétignolles-sur-Mer, et nous savons qu'ils ne bloquent pas un projet de port de plaisance sur le secteur de la Normandelière.
Sur le site de la mairie, on peut consulter les résultats du diagnostic archéologique concernant le domaine public maritime et ceux concernant la partie terrestre.
Une attestation de libération de terrain concernant le domaine public maritime a été envoyée à la mairie de Brétignolles-sur-Mer en septembre 2015 et est sur le site internet.
Une lettre de "Demain Brétignolles" du 14 avril 2016, adressée à Christophe Chabot, nous informe que la DRAC (Direction Régionale des Affaires Culturelles) prépare une attestation de libération de terrain pour la partie terrestre et qu'elle sera envoyée, dans les prochains jours, à la mairie de Brétignolles-sur-Mer.
Cette attestation est importante, la municipalité de Brétignolles-sur-Mer ne peut plus s'appuyer sur les exigences de la DRAC pour dire à la population locale qu'elle ne peut plus rien faire sur le secteur de la Normandelière, qu'elle ne peut pas remettre en service le plan d'eau de la Normandelière, ...
L'association "Demain Brétignolles" demande donc à la municipalité de Brétignolles-sur-Mer de rétablir le plan d'eau de la Normandelière et les arguments ne manquent pas :
- une logique administrative qui repousse de quelques années la mise en enquête publique éventuelle d'un nouveau projet de port de plaisance. En toute logique, il est difficile d'imaginer la mise en enquête publique d'un nouveau projet de port de plaisance avant l'été 2018 (ce type d'enquête nécessite la présence des résidents secondaires) compte tenu des retards pris par le projet de SCoT du Pays de Saint-Gilles-Croix-de-Vie et par le projet de PLU de Brétignolles-sur-Mer.
- une demande de remise en service du plan d'eau toujours aussi forte en provenance des touristes et de la population Brétignollaise - se rappeler le beau mois de mai 2015 et la pétition en ligne -
- un coût de réhabilitation tout à fait supportable pour la commune au regard du déficit du spectacle de Johnny par exemple. Un rétablissement du plan d'eau pour au moins 3 ans (2016 - 2017 -2018) serait un bon investissement pour le tourisme local et mériterait d'être soutenu par l'office de tourisme (voir commentaire)
Il ne faut plus perdre de temps pour une remise en service de ce complexe aquatique à l'été 2016.
Lire les actualités de mai 2015 sur le plan d'eau.
Aujourd'hui, Christophe Chabot ne peut émettre aucun empêchement à la remise en service immédiate du plan d'eau de la Normandelière.
S'il ne décide pas rapidement son rétablissement, il faudra se remobiliser en mai 2016 comme en mai 2015.
l"OFFICE DE TOURISME du pays de St Gilles qui perçoit pour son fonctionnement la totalité de la taxe de séjour, vient de remettre à la 7eme vague 20000€!. ceci un un "appui"pour toutes manifestations performantes et innovantes!.... voir article journal local du 14 avril !
RépondreSupprimer- projet innovant :ce n'est pas le cas de la 7eme vague puisque qu'elle existe depuis
15 ans
- un festival qui cible les familles (Mme Alice Plot j'espère que vous viendrez avec vos enfants !)
Voilà ce que Chabot est capable de pondre au lieu de réhabiliter le plan d'eau de la Normandelière. j'aimerais savoir, ce que les professionnels du tourisme, qui reversent cette taxe de séjour pensent ?
L'office de tourisme du Pays de Saint-Gilles donnerait 20 000 euros au festival de la 7éme Vague qui ne date pas d'hier et qui a lieu 1 fois par an et ne donnerait pas, au moins la même somme, pour la remise en service du plan d'eau de la Normandelière qui sert le tourisme familial pendant toute la période estivale !
SupprimerCe serait un petit scandale local !
Faut bien aider les copains !
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