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mercredi 21 octobre 2015
Normandelière et les collectivités du littoral face aux changements climatiques
Avant la conférence mondiale sur le climat (COP 21), le thème des prochaines journées nationales d'études de l'ANEL (Association Nationale des Elus du Littoral) des 28, 29 et 30 octobre 2015 est : Les collectivités du littoral face aux changements climatiques
Une intervention importante lors de ces journées, celle de Gilles Boeuf, éminence grise de Ségolène Royal sur les changements climatiques.
Son cri d'alarme dans l'article de Challenges du 13 octobre 2015 : "Il faut véritablement s'attaquer à l'économie actuelle qui consiste à gagner beaucoup d'argent le plus vite possible en détruisant la nature ou en la surexploitant. Si on sort de ça, je pense qu'on a des chances de s'en sortir mais il y a du boulot"
Si Christophe Chabot participe à ces journées nationales d'études, lui qui dit être au conseil d'administration de l'ANEL, lui qui se proclame président de l'AVEL (Association Vendéenne des Elus du Littoral) ne voulant pas "sanctuariser" le littoral, ses oreilles vont siffler.
Son projet de port de plaisance est l'exemple de ce qu'il ne faut plus faire aujourd'hui, c'est un modèle économique à "courte vue" et c'est un projet qui détruit la nature et qui met en danger les populations futures.
Avec Christophe Chabot, la population locale n'a pas beaucoup de chances de s'en sortir, sans lui tout est possible !
Petits Suppléments
Actu Environnement du 20 octobre 2015 - Littoral : des propositions pour concrétiser la stratégie nationale de gestion du trait de côte
Le rapport : Les 40 mesures
France Bleue du 21 octobre 2015 : Les océans face au changement climatique
Paul Fattal océanographe diplômé de l'Université de Nantes, connaît bien lui aussi les impacts du changement climatique. "On est dans un contexte d'élévation du niveau de la mer. On va avoir par endroit 40 à 50 cm d'élévation du niveau de la mer, des portions de plages vont disparaître" raconte l'océanographe.
Et les techniques d'enrochements, la construction de digues pour se protéger ? "Ca n'est pas forcément une bonne idée" explique Paul Fattal. Ces dispositifs "réfléchissent l'énergie des vagues, on a du sable qui va partir et on aura moins de plages". Du coup, "On perd ce potentiel touristique à moyen et long terme".
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Ah mon pauv'chabot !
RépondreSupprimerEtes-vous suffisamment sot pour ne pas voir l'évidence ?
La Ministre s'est fait communiquer les conclusions de la commission d'enquête de 2011, sur votre projet de port, qu'elle fait regarder de près par ses collaborateurs ?
A votre avis, est-ce qu'il y a une seule des 51 motivations d'avis défavorables de la commission d'enquête qui est susceptible d'incliner la Ministère à être favorable à votre second projet, au seuil de l'ouverture de la COP 21 ?
Voilà dans quel ordre il faut que vous commenciez à réfléchir !
Vos délires sont tellement énormes qu'ils suppriment chez vous toute faculté d'appréciation et de discernement !
Il faut aussi lire la revue "Les Services de l'Etat (LSE) en vendée qui dans son numéro de septembre consacré au littoral vendéen est très instructif sur les actions à venir (préservation du patrimoine et valorisation de la ressource qu'il représente...) il n'est pas question de saccage...comme le projet de port de brétignolles.
RépondreSupprimerhttp://fr.calameo.com/read/00253783798bb5ff77693
Le problème c'est que l'on s'adresse à un autiste, sans insulte pour les autistes qui eux sont des gens intelligents.
RépondreSupprimerCe monsieur de l'université de Nantes parle d'une montée des eaux de 40 à 50 cm.
RépondreSupprimerIl est, certainement, très au fait des réalités. Il est réaliste.
Je me souviens de l'époque, en 2011 au moment de l'enquête publique, où, sur un stand des pro-ports, quelqu'un, dont je ne connais pas le nom, m'a soutenu que cette montée des eaux n'ira pas au-delà de quelques centimètres.
Honte à lui et à ses mensonges !!!!!!!!!!!!!!!!