Le Journal des Sables du 4 juin 2015 - Sur la plage des 1000 ans. Alise, les adhérents et Jean ...
Sur la même page du Journal des Sables :
Christophe Chabot explique à 350 personnes les opérations d'archéologie préventive qu'il a demandées dans le cadre d'un nouveau projet de port de plaisance n'existant, aujourd'hui, que sur une maquette et qui ont entraîné la destruction du plan d'eau de la Normandelière.
Jean Texier explique à l'association ALISE de Vairé la plage des 100 000 ans que Christophe Chabot veut faire disparaître.
Un beau pied de nez du Journal des Sables : d'un côté un maire qui se fout du patrimoine local, d'un autre côté un observateur assidu des traces de notre passé ( voir aussi les articles du 18 avril 2014 et du 12 mai 2015)
La fourberie de Christophe Chabot rapportée par le Journal des Sables.
Il remet publiquement une lettre de mandat spécial à Thierry Biron pour procéder à la remise en état du plan d'eau selon les propositions de l'opposition de mars 2015, dès que les recherches le permettront. Il sait très bien qu'en mai 2015, il y a eu d'autres sondages sur le plan d'eau qui ont, de nouveau, percé la bâche d'étanchéité (nombre de trous actuellement : 32) et qui ne permettent plus de réparer la plan d'eau, avant l'été, dans les conditions financières initiales (75 000 euros)
Une lettre, en notre possession, démontre de façon incontestable :
- qu'il n'était pas nécessaire de sonder le plan d'eau puisqu'il avait fait l'objet d'observations archéologiques au cours de sa réalisation en 1992 sous le contrôle de la DDE (Direction Départementale de l'Equipement)
- que la mairie a les archives de 1992
- que toutes les autorisations administratives ont été obtenues en 1992 pour la réalisation du plan d'eau.
C'est une lettre qui accuse Christophe Chabot d'avoir prémédité la destruction du plan d'eau de la Normandelière pour laisser croire à une population crédule que son projet de port de plaisance était sur les rails.
Le site internet de la mairie de Brétignolles-sur-Mer fait un retour sur la réunion publique du 23 mai 2015.
Merci de nous apporter ici la preuve évidente que christophe chabot se fiche royalement de ses électeurs, les "moins que rien". Mais nous vivons dans un monde oligarchique, où les décisions se prennent d'en haut et où la majorité n'a plus beaucoup de libertés. Mais il lui en reste encore un peu, alors... qui sait de quoi demain sera fait?
RépondreSupprimerJe veux bien voir cette preuve en votre possession !
RépondreSupprimerMettez la a disposition sur ce blog une fois pour toute !!
Débouchez donc vos neurones, ils doivent être entartrés pour ne pas comprendre qu'il y a des trésors cachés sous le sable du littoral brétignollais ! Chabot n'en a cure. Et qu'on ne l'empêche pas de jouer tout seul au Monopoly !!!!......... C'est tellement mieux pour tout posséder, tout faire, tout acheter, quand il n'y a pas d'empêcheurs de tourner en rond !!!!!!!!!! Mais la machine finit parfois par se gripper...
SupprimerVa falloir se détendre un peu ...! Je me fout complètement de ce que vous pouvez penser de ce qu'il peu y avoir sous le sable ...! JE VEUX LES PREUVES QUE VOUS DITES DETENIR !!!!
RépondreSupprimerJe pense comme l'anonyme de 17h34. Il semble que nous ne soyons pas les seuls intéressés par cette preuve écrite de l'époque.Pourquoi ne pas la diffuser ou mettre à disposition un lien qui nous permettrait de la lire ?
RépondreSupprimerPuisque vous insistez, permettez moi de vous posez quelques questions :
SupprimerPensez-vous que le plan d'eau de la Normandelière a été réalisé en 1992 sans autorisations administratives ?
Pensez-vous que le plan d'eau de la Normandelière a été réalisé en 1992 sans que le secteur ne soit sondé, ne soit terrassé en profondeur ?
Pensez-vous qu'il n'y a aucune archive à la mairie sur la réalisation du plan d'eau en 1992 ?
En réfléchissant un peu, en répondant à ces questions, vous pourrez en conclure que tout ce qui s'est passé récemment sur le plan d'eau de la Normandelière aurait pu être évité et que la destruction du plan d'eau était un acte délibéré du maire pour laisser croire que son projet de port était sur les rails.
Il n'y a même pas besoin de diffuser la preuve, c'est du simple bon sens. En avez-vous ?
Aucun soucis pour dire que la mairie aurait du attendre au moins la fin de saison avant de tout foutre en l'air ! Cependant, cela fait moult fois que l'on voit écrit un peu partout que des fouilles avaient été faites en 92 ... Je pense que le fait de diffuser les résultats de cette étude de l'époque (plutôt que de diffuser la rumeur de leur existence) mettrait de l'eau au moulin des partisans de la remise en état des lieux mais également et surtout de l'eau au moulin à tous ceux qui veulent décrédibiliser les propos du maire, non ??
RépondreSupprimerQuels sont ces anonymes qui réclament à corps et à cris à Jean-Yves la publication des résultats des études géologiques de l’époque, ou qui veulent à tous prix avoir des preuves ?
RépondreSupprimerAu lieu de réclamer bêtement que tout leur soit servit sur un plateau, d’opter pour certains d’un ton péremptoire qui n’impressionne personne, il serait plus constructif ne serait-ce que pour leur intellect de se prendre par la main et de demander de consulter les archives de la Mairie, accessible à tous.
Leur anonymat ne les engageant surtout pas dans une démarche collective qu’ils trouvent eux même réponse à leurs interrogations.
On se demande du reste pour qui certains roulent?
Qu'ils demandent à Chabot de leur fournir les documents d'archives détenus par la mairie relatant la création du plan d'eau de la Normandelière!
Les éléments que plusieurs d’entre nous possèdent seront diffusés en temps et en heure comme il nous semblera et certainement pas sous l’injonction de quelques anonymes.
Ces derniers peuvent effectuer par eux mêmes les recherches adéquates afin de trouver réponse à leurs questions. Encore une fois ces documents sont accessibles à tous.
Seulement il faut se bouger le cul !
A chacun sa stratégie, à chacun son calendrier.
Donc, il faut en déduire que vous n'avez rien ....
RépondreSupprimerPas besoin de se bouger le cul de beaucoup pour comprendre que vous manquez de crédibilité sur ce point tout particulièrement.
Faut-il être C.. !
RépondreSupprimerSous couvert de l'anonymat, je viens toutefois renforcer les arguments de Jean-Yves et d'O.R..
C'est invraisemblable et à désespérer de la nature humaine !
Tout d'abord le fouteur de m..... de 17h34 c'est Chabot en personne !
Ensuite, est-ce qu'il y a encore des gens assez naïfs, pour croire qu'en 1992, au moment de réaliser le lac, à proximité de l'endroit où une molaire d'éléphant antique a été découverte, que le lac ait pu être creusé sans que la DRAC intervienne pour sécuriser l'endroit sur le plan archéologique, c'est à dire sans s'assurer que le sous-sol ne recelait pas de trésor ?
Bien sûr que non ! donc c'est pour cela et je me tue à le dire depuis plusieurs mois, il n'y a rien à trouver sous le lac. Ce sont des travaux inutiles qui ont été menés ! tout a déjà été vu !
Chabot à tout simplement profité de cette opportunité pour détruite le lac pour faire croire que les travaux du port sont en route ! foutaise ! re-foutaise ! gigantesque foutaise !
Et puis enfin, les archives de la mairie doivent parler ! il suffit d'aller les consulter, merde !
Avec un bémol toutefois. Il est fort possible que certaines, ou les plus gênantes aient disparu, celles par exemple qui pourraient prouver qu'un diagnostic préventif avait été réalisé avant d'édifier le lac ! et qui prouveraient donc qu'il n'y avait pas nécessité d'en faire d'autre ! pourquoi pas ?
Qui a dit qu'avec Chabot il faut craindre le pire ? Je le rejoins !
Et c'est re-chabot à 23h21 !
RépondreSupprimerIl parle de crédibilité ! lui chabot le crédible !!!!!! parce qu'il sait qu'il n'y a rien au archives de la mairie, alors que toutes les preuves que nous pourrions obtenir se trouvent là précisément ! où devraient s'y trouver obligatoirement !
Le lac n'a pas été réalisé en 1992, sans laisser de trace aux archives !
Chabot s'est transformé en technicienne de surface, pas pour les sols, mais pour les archives de la mairie. Le ménage est fait mesdames et Messieurs, circulez y'a rien à voir et dormez tranquille !
Les résultats de ces recherches archéologiques doivent exister ailleurs qu'à la mairie de Brétignolles (car on ne sait jamais à qui on a à faire)... Les organismes archéologiques ne se débarrassent pas comme ça du fruit de leur travail. Heureusement !
RépondreSupprimerAno de 10h18 !
SupprimerVous avez complètement raison, mais pour l'instant Chabot fait comme s'il était certain que personne ne mènera d'investigation plus haut, pour retrouver des traces.
Il fera forcément de la rétention d'information à la mairie de Brétignolles.
Or, vous avez raison, ce qu'il faudrait c'est que la Vigie réclame à la DRAC, ou aille consulter sur place à Nantes, les archives de l'époque.