Ouest France du 18 mars 2015 - Brétignolles-sur-Mer : Comptes et budgets au programme du conseil municipal
"Le maire a expliqué que la gestion des ports du territoire communautaire, existants ou à venir, est transférée à la communauté de communes (CDC) du Pays de Saint-Gilles-Croix-de-Vie. Les comptes seront donc soldés et transférés à la communauté de communes"
"Par contre si, le projet de port se réalise, les frais engagés par la commune, seront intégralement remboursés par la CDC."
Fin 2014, le déficit des comptes du budget annexe "port de plaisance", en fonctionnement et en investissement, a été donné par Stéphane Raffeneau lors du conseil municipal du 11 mars 2015, il s'élève à 2 538 124,36 euros (écouter l'AUDIO)
Si les comptes étaient soldés par la commune et transférés à la CDC, le déficit cumulé des comptes ferait aussi partir du transfert. Dans ce cas, que le port soit réalisé ou pas, c'est la CDC qui devrait prendre en charge le déficit cumulé du projet de port de plaisance de Brétignolles-sur-Mer.
Quels sont les frais engagés par la commune qui seraient intégralement remboursés par la CDC ?
A compter du transfert, c'est la CDC qui devrait assurer le remboursement des emprunts décidés par la municipalité de Brétignolles-sur-Mer pour financer la mégalomanie de Christophe Chabot.
Petits Suppléments
Des nouvelles du recours du Préfet de Vendée.
Journal des Sables du 18 mars 2015 : Brétignolles -sur-Mer - Chantier à 450.000 € : le recours du préfet rejeté
Pour justifier le rejet de la requête, la juge des référés a expliqué que l’offre de Colas était de toutes manières “irrégulière” au vu du règlement de consultation. Le choix de la commune de Brétignolles-sur-Mer de retenir GTP n’est donc “pas de nature à créer un doute sérieux sur la légalité du marché”, en a-t-elle conclu
Christophe Chabot va pouvoir pavoiser !
France 2 - 20 H (curseur 35'40)
Christophe Chabot, un maire exemplaire qui protège le littoral vendéen sauf à Brétignolles-sur-Mer !
Hold-up de Chabot à la Comcom.
RépondreSupprimerMaintenant que les élus cocus communautaires vont découvrir la réalité des faits et surtout des comptes on va se marrer.
Que les contribuables de la Comcom demandent des explications détaillées et circonstanciées à leurs édiles respectives quand il est encore temps et qu’ils demandent à ne pas avaliser le transfert de compétence de port Chabot à la Comcom.
Ce transfert ne figurait dans aucune des propositions de campagne municipale des élus de la Comcom. Ils ne peuvent décider seuls, sur injonction de Chabot, d’une décision politique sur laquelle ils n’ont pas été élus et ayant de lourdes conséquences sur leurs administré(e)s.
Pour info des nouveaux futurs contributeurs, le projet virtuel de Chabot accumule aujourd'hui une dépense à hauteur d'environ 6 millions d'euros.
Avec Chabot tout est possible, surtout le pire.
Petites affaires entre amis :
RépondreSupprimerComme d’habitude Chabot est toujours limite légalité.
Mais il ressort de cette information traitée bien ostensiblement par le JdS encore un gros foutage de gueule.
Quand cela l’arrange Chabot se sert de l’impact sur le tourisme pour motiver sa précipitation à faire des travaux alors que dans le même temps il n’a strictement rien à faire de ces mêmes touristes lorsqu’il refuse de remettre en état le plan d’eau.
Il est vrai que dans cette affaire de rond point, les cyclistes ont bon dos, il y a surtout l’accès au Super U en jeu ! Copinage quand tu nous tiens !
Par ailleurs si le Préfet est intervenu c’est bien parce que les autres entreprises ont eu peur et n’ont pas voulu se faire black-lister par Chabot.
Quant à l'exactitude des faits relatés par le JdS encore une fois il y a à redire, il est toujours question d'un Intermarché! l'erreur avait pourtant déjà été signalée.
Avec Chabot tout est possible surtout le pire.
Et Vive Chabot et Vive le comptable Rafleneau !
RépondreSupprimerCe grand pontif comptable de Rafleneau, qui n'avait trouvé qu'une erreur d'opération, sans aucune conséquence sur la philosophie des 7 avis négatifs, dans les rapports de la commission d'enquête, il y a maintenant plus de 3 ans, serait bien inspiré de revoir les propres comptes du budget du port !
Rafleneau, lui, ne trouve qu'un déficit de 2 500 000 euros sur ce budget, mais comment va-t-il faire pour éponger les 3 500 000 euros restants, car le "trou" n'est pas de 2,5 millions d'euros, mais de 6 millions !
Où alors Rafleneau, il faut retourner à l'école primaire, en moyenne section !!!
Pourquoi ?
Parce que le projet de port n'a fait que coûter jusqu'à présent, il n'y a jamais eu aucune recette ! et les dépenses se chiffrent bien à 6 millions d'euros !
Vivement que cet individu soit viré des effectifs de la fonction publique territoriale ! et mis au placard d'office !
C'est bien près de 6 000 000 d'euros qui ont été dépensés par Chabot depuis le début, en intégrant l'achat de la ferme de la Normandelière.
SupprimerCertaines dépenses ont été réalisées en prélevant sur les recettes annuelles de la commune.
Le déficit cumulé fin 2014 qui est dans les comptes administratifs, c'est principalement les emprunts réalisés et les frais associés. Il faudrait y ajouter les 2 000 000 d'euros d'emprunt pour l'achat de la ferme de la Normandelière, achat lié au port.
"On fait c'qu'on peut, pour êtr' tranquille quelques années"
RépondreSupprimeret après ?
Question ?
RépondreSupprimerComment peut-on faire pour faire savoir à tous les électeurs de la com.com de Saint Gilles, que Chabot est en train "d'enfler" leurs maires en leur faisant payer la facture de son incompétence, de sa mégalomanie et de ses frasques ? sans qu'aucun d'eux ne bronche ?
J'en connais plus d'un de ses maires qui sont en train de vivre leur dernier mandat et c'est tant mieux !
Dehors tous ces insignifiants personnages !