Ouest France du 13 janvier 2015 : Une promenade "je suis Charlie" à Brétignolles-sur-Mer
Une récupération politique par un maire dont on connaît l'exemplarité en terme de liberté d'expression sur sa commune. Le journal Ouest France fait la part belle au maire.
La UNE de Charlie Hebdo de mercredi : Tout est pardonné .... Je suis Charlie .... et j'aurai ma rue à Brétignolles ! ça c'est l'humour Charlie Hebdo
Le lendemain de l'attentat, Jean-Pierre Tallieu, maire de la ville de La Tremblade, dans la banlieue de Royan (Charente-Maritime), prend l'initiative de baptiser une place publique « Je suis Charlie » afin de perpétuer le souvenir des victimes. Une plaque provisoire est inaugurée le samedi 10 janvier33, et doit être remplacée par une signalétique pérenne dans les semaines qui suivent.
RépondreSupprimerC. Chabot c'est du copié/collé...
Donner un nom à une rue ou d’une place ne se fait pas à la légère
RépondreSupprimerLe nom d'une rue est pris par « arrêté municipal », mais l'arrêté est le résultat d’un processus
Il fait suite à une décision du conseil municipal, votée après proposition de la commission chargée de l'urbanisme en général à qui est soumis une suggestion.
Lorsque le nom est voté, il est transmis au service des impôts (pour le cadastre) qui lui donne un code à quatre chiffres, le code Rivoli.
Une fois fait, l'arrêté est remis à la sous-préfecture.
Ensuite, il faut transmettre les nouvelles informations aux concessionnaires, La Poste, EDF, France Télécom, les services des eaux, les services de secours et aux riverains.
Au-delà de la règle administrative (encore une loi que Chabot ne connais pas!), la décence aurait voulu que tout le monde soit associé à la démarche, aussi bien sa majorité que son opposition.
Mais non, Chabot a décidé tout seul, pour faire le buzz et de la récupération politique.
Avec Chabot tout est possible, surtout le pire.
On dit qu'il n'est jamais trop tard pour bien faire ! Mais avant à Brétignolles il y a eu la minute de silence devant la mairie jeudi dernier à midi, de cela ouest france c'est bien gardé de le signaler, elle était organisée par l'opposition et pas par Chabot alors...
RépondreSupprimerIls sont vraiment gonflés de parler de liberté d'expression sur le site de la mairie lorsque tous les opposants dans les associations ont été virés, lorsque l'on parle de presse de caniveau parce qu’elle dénonce les méfaits de Cc.
RépondreSupprimerLui seul détient la vraie parole qui n'est que mensonge. Pour reprendre les propos de la godasse ils feraient mieux d'inaugurer la promenade des charlots termes qui leur convient exactement.
LIBÉRONS BRETIGNOLLES OSONS!
Faire le buzz, être le premier a le faire, ... C'est tout Chabot
RépondreSupprimerNO COMMENT !!!!!!!
RépondreSupprimerMon Dieu......... Il nous aura tout fait.
RépondreSupprimerEcœuré et indigné.
RépondreSupprimerLa récupération à plusieurs titres par Chabot de l’émotion des tragiques évènements est à vomir.
Cela a commencé samedi où la cérémonie aurait dû s’arrêter à l’hommage aux victimes des attentats et non à la continuation indécente des vœux de Chabot.
Cela continue par aujourd’hui par une médiatisation de la récupération par Chabot des évènements.
Vous êtes tous concernés ou témoins des entraves répétées de Chabot à la liberté d’expression depuis qu’il est élu.
La décision qu’il a pris seul, sans avertir ni sa majorité ni son opposition, montre à quel point Chabot n’a toujours pas compris ce qu’était le savoir vivre ensemble, voir le savoir vivre tout court.
Chabot n’a toujours pas compris ce qu’était un mandat de Maire, fait d’abord pour rassembler sa commune.
Chabot fait tout le contraire, petit parvenu, petit élu sans aucune envergure, que rien n’intéresse sinon sa propre personne.
Chabot ne se rend-t-il pas compte qu’il est à l’opposé des idéaux des membres de Charlie lâchement exécutés, qui ne souhaitaient aucune sanctuarisation.
Sa démarche est aussi inconvenante que celle de ceux réclamant leur place au panthéon.
Charlie Hebdo tentait de survivre sans pub,
Chabot veut les commémorer en faisant de la pub pour son pote contributeur de la destruction du centre ville en citant son enseigne.
Avec cette symbolique forte : entre la médiathèque et le futur « supermarché. » (je ne vais pas leur faire de la pub en les citant également)
Tout le mercantilisme de Chabot !
Cette démarche ne résulte que d’un calcul politique pour le moins raté et désastreux.
Ce n’est pas rendre hommage à ces victimes.
Voilà pourquoi il ne faudra pas se rendre au meeting de Chabot du 31 janvier.
Avec Chabot tout est possible, surtout le pire.
MR PRESENTEZ VOUS AU LIEU DE JUSTE SAVOIR CRITIQUER.
SupprimerBIEN SUR SI VOUS RESIDEZ A BRETIGNOLLES.
Bonsoir
RépondreSupprimerN'est il pas légalement possible de faire annuler cette décision par le Préfet qui semble t il est mis devant le fait accompli?
Jacques
avec Chabot toujours la charrue avant les bœufs on veut inaugurer une plaque commémorative avant d'avoir fait les démarches nécessaires. Pourtant il en est à son 3è mandat il doit bien savoir comment il aurait du faire de nombreuses rues nouvelles ont été crées à Brétignolles ces derniers temps ! Mais pour lui compte uniquement le paraître et la pub.
RépondreSupprimerIl est bon de rappeler tout simplement les actes du maire de Brétignolles, car ce sont bien les actes qui définissent un homme et non pas uniquement les paroles.
RépondreSupprimerIl est bon de rappeler que l’arrêté municipale n° 2005_85 du 15 Juin 2005 portait atteinte à la liberté d'expression des opposants au projet de port. Que la décision du maire de Brétignolles a été condamné par le tribunal administratif de Nantes et que le délibéré est sans équivoque mentionnant une atteinte à la liberté des droits fondamentaux d'expression.
Il est important de se rappeler de tout cela effectivement!
Cela permet de s’interroger sur les motivations réelles et de mettre en perspective les discours...de façade ou le simple affichage a des fins peu avouable.
Ne lâchez rien!!!
Sam agace
J'ai participé à cette minute de silence et si j'y ai aperçu des membres de l'opposition, je ne les ai pas entendu.
RépondreSupprimerC'est bien la maire qui à fait lecture du communiqué des élus de France et c'est aussi lui qui a géré la minute de silence.
Par ailleurs, j'y était parce que invité par le site de la mairie et ce n'est pas l'opposition qui le gère.