La rentrée de Réunir Brétignolles - dimanche 28 septembre 2014.
Achat de la ferme (notre article)
La municipalité n’a pas fait appel de la décision du Tribunal Administratif de Nantes du 5 juin qui enjoint la commune dans un délai de trois mois de rechercher la résolution du contrat d’achat de la ferme. Au 28 août, quelques jours avant la fin du délai, quand nous lui posons la question en Conseil Municipal, Monsieur le Maire nous explique que l’ancien propriétaire a été contacté mais que la municipalité n’a pas de réponse... Lors du Conseil du 17 septembre, il semblerait que des négociations soient enfin engagées avec l’ancien propriétaire alors que le délai de résolution est déjà dépassé de 12 jours… Pourquoi avoir attendu plus de trois mois pour engager les discussions avec l’ancien propriétaire?
La municipalité a signé une convention avec l’Inrap pour réaliser des fouilles archéologiques sur le site de l’hypothétique port de plaisance. Compte tenu de l’absence d’utilité publique du projet de port, cette dépense n’a pas lieu d’être et vient encore alourdir la facture liée à ce dossier et les frais entièrement à la charge du contribuable pour un projet qui ne pourra aboutir compte tenu des contraintes environnementales rédhibitoires soulevées lors des précédentes enquêtes publiques
Lire aussi : Gilles Rousseau et le cabinet médical, Piste cyclable communautaire.
Petits Suppléments
Sémaphore - Actualités du 27 septembre 2014 - A l'heure des procès Xynthia : le PPRL
C'est le PPRL des Pays de Monts qui nous concerne. Les choses ne semblent pas avancer rapidement, les élus du littoral feraient-ils obstacle ?
Contrôles environnementaux : le préfet relâche ses services en rase campagne.
Le jour même de la nouvelle condamnation de la France par la Cour de Justice de l’Union Européenne (CJUE) dans le dossier des nitrates1, le préfet de Vendée et le président de la FDSEA 85 signaient un protocole d’accord relatif aux contrôles des exploitations agricoles. Sous couvert de fixer les « bonnes pratiques » de ces contrôles, ce protocole traduit surtout le délitement de la volonté de l’État de faire respecter les règles environnementales… quitte à abandonner tout espoir de reconquête de la qualité de nos eaux
Il faut aussi se méfier des élus qui veulent modifier la Loi Littoral. Voir aussi l'article de Libération du 13 septembre 2014 : Les sénateurs menacent-ils la Loi Littoral ?
Des photos de la Parée prises le 28 septembre 2014 : à noter les mouvements de sable, des remontées de sable de 1,5 à 2 m par endroit.
Des photos de la Parée prises le 28 septembre 2014 : à noter les mouvements de sable, des remontées de sable de 1,5 à 2 m par endroit.
S'il y avait un chenal à cet endroit, imaginez les conséquences. Ce serait de même à la Normandelière.
Toutes ces remontées de sable feront un beau tremplin pour les tempêtes hivernales.
L'idéal serait des remontées de sable en été pour que les plages soient belles et des évacuations avant l'hiver pour que les digues soient hautes et qu'elles protègent les habitations. Hélas, c'est la nature qui fait la loi pas Christophe Chabot !
Lire la suite dans Plus d'Infos
Toutes ces remontées de sable feront un beau tremplin pour les tempêtes hivernales.
L'idéal serait des remontées de sable en été pour que les plages soient belles et des évacuations avant l'hiver pour que les digues soient hautes et qu'elles protègent les habitations. Hélas, c'est la nature qui fait la loi pas Christophe Chabot !
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Des articles du journal Sud-Ouest
Lettre de Wilfrid Montassier du 29 septembre 2014
Une déclaration de René Marratier qu'il fait parce qu'il a décidé de la faire : "Je veux vous demander pardon" ! Avant je ne voulais pas, aujourd'hui je veux !
Lettre de Wilfrid Montassier du 29 septembre 2014
Une déclaration de René Marratier qu'il fait parce qu'il a décidé de la faire : "Je veux vous demander pardon" ! Avant je ne voulais pas, aujourd'hui je veux !
Sud Ouest du 29 septembre 2014 - Médoc Estuaire : "On ne veut pas être une réserve d'indiens".
Les élus ont émis un avis défavorable au projet de Schéma régional de cohérence écologique, qui pourrait selon eux bloquer l’activité économique.
Si ça continue, dans quelques années, le paradis sera dans les "réserves d'indiens" !
Sud Ouest du 26 septembre 2014 - Immeuble Le Signal à Soulac : La copropriété perd devant le tribunal.
Et, en plus, il faudrait que ce soit la collectivité qui finance leurs ouvrages de protection !
Sud Ouest du 23 septembre 2014 - Erosion du littoral : Des spécialistes américains accueillis à Lacanau.
Ouest France du 29 septembre 2014 - Procès Xynthia. René Marratier : "Je veux vous demander pardon"
Je ne me suis pas reconnu dans l'homme décrit. Je ne pense pas être cet homme-là ... je m'interroge sur ce que j'ai pu faire, dire, ne pas dire pour blesser et choquer chacun et chacune d'entre vous ....Je n'ai peut-être pas eu les mots qu'il fallait. Je m'en excuse ....« Je me fais tant de reproches » .... Je me faisais et me fais tant de reproches que je n'ai pas pu, sûrement, aller vers beaucoup d'entre vous ...J'ai alors cru qu'il fallait que je me consacre à la reconstruction de .... C'est ce que j'ai voulu faire je pense .... En y consacrant toute mon énergie, les services de la Ville aussi, malgré ce que vous avez ressenti ... Mais j'ai sûrement eu tort ...
Le procès de René Marratier, c'est le procès de tous ces maires qui croient détenir la vérité, qui font pression sur les responsables politiques, qui méprisent leurs opposants et qui mènent leur commune à la catastrophe.
Cette "demande de pardon" est télécommandée. Il demande pardon mais se demande ce qu'il a pu faire pour mériter ça ! Il lui faut un procès pour exprimer un pardon, ce n'est pas un pardon sincère mais un pardon de circonstance.
Bien d'accord avec toi sur la méfiance envers les services de l'état qui semblent ne rien vouloir refuser aux lobbys sous de fallacieux prétextes économiques.
RépondreSupprimerJ'ai repris le lien que tu as mis dans un précédent article sur le conflit entre un port et la communauté de communes et j'ai trouvé cette phrase de l'avocat du port qui devrait ouvrir les yeux de tout ceux qui réclament des anneaux à cors et à cris “Ce qui se passe, c’est que la communauté de communes veut bien vendre ses anneaux, mais à un prix élevé”, avait ajouté l’avocat du port de plaisance. “Or, depuis trois-quatre ans, le marché s’est retourné… C’est tant pis pour eux, j’ai envie de dire : s’ils l’avaient fait en 2011-2012, il y avait largement la clientèle pour cela.”Ce qui veut dire que maintenant, il n'y a plus la clientèle. CQFD
Et ça continue, encore et encore,
RépondreSupprimerTu l'auras jamais, ton port, ton port.
Merci à vous, probes fonctionnaires,
Incorruptibles dans c't'affaire.
Pour l'émule de Marrattier,
SupprimerPas de quartier, pas de pitié.
Procès Xynthia:
RépondreSupprimer"Qui est poursuivi ?
Le maire de l'époque, René Marratier (UMP). La justice lui reproche de ne pas avoir informé la population des risques d'inondation, en ne se dotant pas de plans de protection (PPRI) et de secours (PCS).
Sur ces terrains vulnérables, la commune a autorisé les constructions. Certains appartenaient à Françoise Babin, la première adjointe à l'Urbanisme, et étaient commercialisés par son fils, Philippe Babin, directeur d'une agence immobilière et président de l'association chargée de l'entretien de la digue. Quant à Patrick Malin, alors conseiller municipal et membre de la commission urbanisme, ses entreprises ont construit certaines des maisons inondées. Ils sont poursuivies pour homicides involontaires et mise en danger de la vie d'autrui."
Extrait OF du 15 septembre
La justice démêle les fils de cette catastrophe.
A Britignolles pas de catastrophe, mais bien de nombreux fils a démêler...
A Brétignolles on retrouve les mêmes choses : combines immobilières, conflits d’intérêts particuliers, détournements des règles et des lois… des personnes qui se donnent des droits quels qu'ils soient pour faire aboutir leurs funestes opérations-manipulations.
SupprimerDonc mêmes motifs = même punition.
A Brétignolles, nous sommes dans le même cas qu'à la Faute !
RépondreSupprimerChabot est dans le même déni que Maratier !
Pour ces gens là, un seul remède pour les guérir :
Une paire de "pinces" aux poignets, entre deux gendarmes, devant les caméras de TV et au ballon ! avec déchéance des droits civiques à vie ! afin de les empêcher de continuer à nuire !
Ce jour là vous verrez qu'il n'y aura plus en France de petits Maratier et Chabot !
Marrattier était dans le déni. Pour l'instant, notre déjà vieux cacou est surtout dans le défi, défi aux administrations et aux appareils d'Etat. La suite, on ne la verra jamais.
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