L'affichage, le 4 décembre 2020, des délibérations du conseil communautaire du 19 novembre 2020, donne lieu à des interrogations
Questions liées à la délibération concernant le budget "annexe ports"
1 - Existe-t-il un budget "annexe port de Bretignolles" à la communauté de communes depuis début 2015, date de prise en charge du projet par la CDC ? A notre connaissance non ! C'est la première fois qu'il apparaît dans une délibération de la CDC.
Si oui, est-ce le coût des mémoires en réponse préparés par le cabinet d'avocats de la CDC dans le cadre des recours contentieux de l'association La Vigie contre le SCoT du Pays de Saint-Gilles-Croix-de-Vie et contre la DUP et les autorisations environnementales concernant le projet de port.
Nota. Sachant que la commune de Bretignolles a aussi un cabinet d'avocats qui continue de préparer des mémoires en réponse dans le cadre des recours contentieux de l'association La Vigie contre le PLU et le permis d'aménager concernant le projet de port, on peut dire que les litiges en cours sur le projet de port de Bretignolles coûteraient quelques 30 000 euros à la collectivité en 2020. Ne faudrait-il pas mettre fin définitivement à ce gaspillage financier ?
3 - Où en est-on de l'emprunt de 31 000 000 d'euros ?
La diminution des crédits inscrite dans le budget "annexe ports 2020" pour la prise en charge des intérêts du prêt semble indiquer que le prêt n'a pas été réalisé, confirmation ?
4 - Question subsidiaire : Pourquoi la communauté de communes ne décide-t-elle pas de mettre fin à tout ce cirque sachant, aujourd'hui, que l'emprunt voté en septembre 2019 ne permettrait pas de couvrir le coût réel du projet de port de plaisance ? Lire l'article du 30 septembre 2020. Coût du projet de port : 70 millions d'euros, c'est au moins !
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COPIL Natura 2000 - désignation de représentants à la communauté de communes
« Face aux risques climatiques, il convient de protéger et reconfigurer les communes du littoral »
Le roi des vérandas veut son port à tout prix
L'état de la dune du Marais-Girard après les dernières tempêtes
« L’Homme ne peut pas dominer la nature »
Thalassa du 6 décembre 2012 : Un littoral en mouvement
L’horizon 2100 oblige l’homme à repenser son littoral
Site ANEL du 4 décembre 2020. « Face aux risques climatiques, il convient de protéger et reconfigurer les communes du littoral ». Jean-François Rapin, président de l’Association nationale des élus du littoral (Anel), expose les spécificités des communes du littoral et leur résilience nécessaire face aux risques climatiques qui s’accentuent. Il évoque aussi l’appui de l’ANCT pour maintenir leur vitalité, dans un contexte de crise économique.
Il y a 1 an - L'article de Médiacités Nantes : Le roi des vérandas veut son port à tout prix
Le Télégramme du 6 décembre 2020. Eboulement de falaises : « L’Homme ne peut pas dominer la nature »
Thalassa du 6 décembre 2012 : Un littoral en mouvement - Cap Ferret (curseur 16')
Midi Libre du 7 décembre 2020. Hérault : l’horizon 2100 oblige l’homme à repenser son littoral
L’inéluctable effet combiné de l’érosion et de la montée du niveau de la mer va accélérer les dangers et l’impact des accidents climatiques. Il oblige l’homme à déjà se pencher sur les questions sensibles du repli et des déplacements de routes, d’activités… et de populations.
Parallèlement, Météo France prévoit une augmentation des événements climatiques, pas forcément en fréquence mais en intensité
Peut-être une simple régularisation ?
RépondreSupprimerChabot n'avait pas ouvert de "budget annexe port" pour ne pas que les sommes consacrées au port soient connues par le public.
C'était tout simplement de la gestion empirique ou à "la petite semaine" ! et venant de Chabot cela ne serait pas surprenant !
Peut-être que le nouveau président a voulu, lui, régulariser toutes ces sommes d'argent en ouvrant un budget spécifique officiel pour que le public en ait connaissance ?
Tout cela est bien sûr à creuser.
Je vous conseille de regarder thalassa de ce dimanche a 15h30
RépondreSupprimerL'argent paye tout, surtout l'argent des autres qui est si facile à dépenser
RépondreSupprimerLe modèle actuel auquel s'accrochent nos gouvernants est un modèle économique qui alimente les plus riches tout en détruisant notre environnement. Il faut que ça change et seuls les citoyens peuvent changer le cours des choses. Port Chabot s'inscrit dans le modèle actuel qui mène le monde à sa perte. Macron fait de la résistance : c'est lui qui a initié le ruissellement au début de son mandat et qui aujourd'hui fait de la résistance en tentant d'écarter les propositions de la convention citoyenne pour le climat. Changer rapidement de modèle de société est une urgence.
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