Ouest France du 18 avril 2014 - Brétignolles-sur-Mer : L'estran brétignollais : "Un site archéologique majeur"
Les nuages s'amoncellent sur le projet de Port Brétignolles de Christophe Chabot, l'estran de la Normandelière fait partie d'un site archéologique majeur. C'est une confirmation.
Christophe Chabot et son fidèle Stephane Raffeneau ont tout fait pour expliquer, lors des réunions publiques de l'été 2013 (juin 2013, juillet 2013), que le site de la Normandelière ne présentait aucun intérêt géologique et archéologique, ce sont des spécialistes de la désinformation (voir article du 12 novembre 2013)
L'archéologue Jean Marc Large apporte des preuves et rétablit la vérité scientifique pour ceux qui douteraient après les interventions de Christophe Chabot et de son fidèle Stephane Raffeneau.
L'estran Brétignollais sera bientôt définitivement protégé dans le cadre SCAP (Stratégie nationale de Création d'Aires Protégées) et on ne parlera plus du projet de port de plaisance sur le site de la Normandelière.
Deux mauvaises nouvelles en deux jours pour Christophe Chabot, combien de temps va-t-il tenir ? Il va pouvoir demander l'avis de son comité consultatif "port de plaisance" composé de grands spécialistes (voir délibération 2014-107) !
Comment des Brétignollais et des élus locaux peuvent-ils se laisser abuser par le maire de Brétignolles sur Mer ?
Petit Supplément :
Ouest France du 19 avril 2014 - Saint Gilles Croix de Vie. Budget : La commune devra se serrer la ceinture.
"Le débat d'orientation budgétaire en conseil municipal a été l'occasion de faire un point sur les finances de la ville. Avec un important déficit, les économies sont raisonnables."
Saint Gilles Croix de Vie n'a pas une situation financière aussi inquiétante que Brétignolles sur Mer. A Brétignolles sur Mer, le débat en conseil municipal n'existe pas puisque Christophe Chabot ne veut plus parler à l'opposition.
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Sud Ouest du 18 avril 2014 - Littoral médocain : les vacanciers reviennent sur la plage, malgré les dégâts.
Le coût des réparations :
Lacanau : 2 108 000 euros
Montalivet et Soulac : plus de 5 000 000 euros
Ouest France du 18 avril 2014 : L'heure du bilan après les intempéries hivernales
La chronique de Natacha Bolony : La France reine de la laideur et de l'aberration économique.
La commune de Brétignolles sur Mer a, environ, 4000 habitants, son offre commerciale est pour au moins 20 000 habitants (avec sa nouvelle surface commerciale).
Tout est dimensionné pour une population estivale présente 2 mois maximum.
Chabot au pouvoir, c'est le mensonge permanent. Les cocus sont nombreux à Brétignolles , à la CC vont -ils accepter de le devenir?
RépondreSupprimerDeux observations après la publication de deux articles excellents. Merci Jean-Yves, et merci Ouest-France.
RépondreSupprimerPremière : merci aux lecteurs parfois critiques de ce blog de bien vouloir comprendre comment fonctionne la presse locale. Si elle laisse la place aux discours officiels, elle fait également paraître les informations qui gênent. C'est sa façon à elle d'alimenter le débat démocratique sans fâcher pour autant.
Un jeu subtil qu'il est nécessaire de manier avec intelligence…
Les critiques ont rarement eu l'occasion de l'expérimenter. Il serait bon qu'ils dialogue avec les journalistes locaux.
Deuxième, le résultat des tempêtes : les interventions pour défendre les dunes doivent proscrire l'enrochement en dur. C'est Michel Bridonneau, maire de Longeville sur mer, qui l'affirme.
Et les Brétignollais, qui le constatent...
Pas d'accord avec vous l'ami Girard du Marais !
SupprimerOn ne demande pas à la presse et aux journalistes de Ouest-France en particulier, de suputer, imaginer, juger, combiner, prendre partie, contribuer à défaire les hommes de pouvoir, ou faire des plans sur la comète !
Le journaliste est un agent de l'information. La déontologie lui demande seulement de rapporter l'information au public comme il la reçoit dans le but d'informer celui-ci ! rien de plus et si les journalistes se limitaient à celà, la presse aurait peut-être plus de succès !
Y'en a marre de ces gribouillards qui font et défont les choses !
Quand ils entendent un discours officiel, eh bien on demande aux journalistes de rapporter le discours ! Un point c'est tout ! Le peuple est mature et n'a plus besoin de journaliste pour se forger une opinion !
Le seul jeu subtil qu'ils manient avec intelligence ( si l'on peut dire ) c'est de foutre le bordel pour arranger leur soupe !
Voilà ce que j'en pense chef !
Bonne nuit quand même !
Vous faites superbement démonstration de votre subtilité, de votre intelligence et de votre ouverture d'esprit.
SupprimerPuis-je me permettre de vous rappeler que le temps de Pâques est un temps de réconciliation et de renaissance à la vie ?
Bonnes fêtes de Pâques à tous les lecteurs de ce blog.
Pour ajouter à mon commentaire ci-dessus de 22h24 :
SupprimerEtant entendu que pour le cas d'espèce et pour une fois, ( mais une fois n'est pas coutume ! ) l'article de Ouest-France du 18 avril, sur l'archéologie de La Normandelière est bien sûr très intéressant et n'est pas empreint de parti pris, mais semble objectif parce que provenant de l'analyse d'un archéologue. Toute chose que n'est pas un journaliste !
Et là qu'a fait le journaliste : rapporter l'information comme il l'a reçue ! on n'en demande pas plus à un journaliste !
OK ! Girard du Maris de 22h54 !
SupprimerJe partage ô combien votre appréciation sur le temps de Pâques : la réconciliation OUI ! la renaissance de la vie OUI ! mais il n'est écrit nulle part que le temps de Pâques est le temps "d'avaler des couleuvres ! "
Bonnes fêtes de pâques et sans rancune
Girard du marais de 22h54
SupprimerVotre ironie, en employant des formules toutes faites, connues et éculées, est choquante ! Vous croyez-vous, vous, subtile, intelligent et faisant preuve d'ouverture d'esprit ?
Anonyme de 19:27
SupprimerGirard du marais est un fidèle de ce blog qui défend depuis de nombreuses années avec nous le site de la Normandelière.
Chacun le fait avec ses convictions sans prosélytisme et c'est ce qui a fait la force des opposants au port.
Respectez cette diversité et ne vous trompez pas de cible.
Je pense que "Girard du marais" n'a pas besoin d'avocat pour le défendre, son propos n'en devient alors que plus suspect !
Supprimeret pour être mieux informé :
RépondreSupprimerhttps://www.academia.edu/1591830/LE_MARAIS_GIRARD_A_BRETIGNOLLES-SUR-MER_Vendee_
Merci, cher anonyme.
SupprimerVous avez oublié, en donnant votre lien, qu'il permet de prendre connaissance du travail de Jean-Marc Large sur le Marais Girard, et donne tout l'intérêt du site.
Une visite s'impose à tous les lecteurs sceptiques...
slt
SupprimerVoici le lien cliquable
https://www.academia.edu/1591830/LE_MARAIS_GIRARD_A_BRETIGNOLLES-SUR-MER_Vendee_
merci pour ce lien, très intéressant !!
SupprimerComme beaucoup d'entre vous je me suis posé la question des ressorts psychologiques de cette forme de "fuite en avant" sur ce projet de port. Nous savons tous que ce projet n'est pas réalisable et pourtant le maire de Brétignolles persiste dans cet engagement. pourquoi?
RépondreSupprimerDe nombreux sites traitent de ce type de sujet voici quelques éléments de réponse que je soumets à vos commentaires.
« On ne chante pas parce qu'on est heureux, mais on est heureux parce qu'on chante.»
Kiesler considère l’engagement comme « le lien qui existe entre un individu et ses actes. »
C'est l'idée que seuls nos actes nous engagent. Mais aussi que l'engagement peut être plus ou moins fort, que l'on peut être engagé à différents degrés.
Il existe 5 facteurs permettant de moduler la force du lien qui existe entre la personne et ce qu'elle fait.
- Le caractère public ou privé de l’acte (Il est plus engageant de faire quelque chose sous le regard d’autrui que dans l’anonymat)
- Le fait de répéter un acte est plus engageant pour une personne que de le faire une seule fois.
- Le caractère irréversible ou réversible de l’acte. Plus la personne perçoit qu’elle ne pourra pas faire marche arrière(sentiment qu’elle ne pourra plus revenir sur le comportement qu’elle est sur le point d’émettre), plus elle est engagée.
- Le caractère coûteux ou non coûteux de l’acte. Pour avoir toutes les chances d’être accepté, un acte coûteux doit être précédé d’un acte moins coûteux. Aussi, pour faire accepter un acte moins coûteux, il est préférable d’amener préalablement les personnes à refuser un acte très coûteux.
- Le sentiment de liberté. Plus la personne se voit libre de faire ou de ne pas faire, plus elle fera. La simple évocation de ce sentiment par l’expérimentateur : « vous êtes libre de … » amènent davantage les personnes à accepter l’acte.
Je pense que nous retrouvons l'ensemble de ces critères, a un très haut niveau, réunis dans le processus mis en oeuvre du projet de port par le maire. Comprendre les ressorts, les modes de fonctionnement et décrypter les actes, c'est comprendre la clé du problème. Je pense que ce sujet est devenu une impasse "psychologique"...
Trouvera t'il une issue à cette impasse???
NAP ne lâchez rien!!!
Sam Agace
Le proverbe du sage Nô-Mi:
"Ce que tu appelles “échec”, le destin le nomme “abandon” et ce que tu qualifies de marche arrière, il le baptise simplement “détour”..."
Merci, "Sam", de cette méditation bienvenue en ce jour de Pâques.
RépondreSupprimerTu poses très bien la question de l'engagement.
L'évocation de l'abandon est pertinente, en conclusion.
Une petite remarque.
Pour connaître l'abandon, il faut parfois l'avoir exploré dans sa chair. Cela nous est alors plus facile, humainement, que par la voie de l'effort intellectuel et spirituel, donnée aux esprits les plus forts. Je suis de ce côté-là très humble.
Il est cruel de souhaiter à chacun de connaître ces épreuves.
Encore faut-il aussi reconnaître le prix et le sens de l'abandon lorsqu'on le rencontre, et en intégrer la dimension spirituelle et philosophique à sa vie. C'est le travail d'une vie entière !
Peut-être devrions-nous chacun réfléchir sur nos façons de nous engager ?
Une chose est sûre : avant de tourner notre ressentiment vers l'autre, soyons certains que notre ressentiment ne dépasse pas ce que l'on pourrait nous reprocher à nous-même.
Cher Girard du Marais,
SupprimerEffectivement plusieurs niveaux de lecture et d'interprétation sont possibles. A chacun d'y trouver son chemin...
J'aurai dû ajouter: "Trouverons nous une issue à cette impasse??? ".
Tout simplement parce que je ne suis pas certain que notre premier édile ait la bonne solution pour sortir du bourbier dans lequel il a mis les deux pieds ou tout simplement faire un "détour".
Curieusement, j'ai l'impression, que malgré sa victoire significative aux élections (municipales et intercommunales), il a vécu cela comme une humiliation...
Serait ce une victoire à la Pyrrhus?
Pyrrhus aurait d’ailleurs commenté l’événement par cette réplique: « Encore une victoire comme celle-ci et je suis perdu ! »
Amitiés,
Ne lâchons rien!!!
Sam Agace
Impertinent, va !
SupprimerCe dont je suis sûr, Sam, c'est que, en l'absence d'une ouverture où il faille agir vite et sans faillir, c'est par la patience, la clairvoyance, la constance, la simplicité que se dénouera la situation.
Autant de vertus qui laissent peu de place à l'invective inutile et au ressentiment amer.
Alors ? concrètement on fait quoi Girard du Marais ? pour "agir vite, sans faillir, par la patience, la clairvoyance, la constance et la simplicité " !
SupprimerFeriez-vous partie des "y'a qu'à" et des "fautqu'on" qui ont, sous la 4ème République notamment, créé un nombre inédit de commissions "théodule" si efficaces que la situation n'a pas ou peu évolué depuis plus d'un demi-siècle et on pourrait, par exemple, citer au premier chef, le statut des élus et de leurs indemnités ?
Vous n'avez pas peur que le développement de votre philosophie, certes intéressante, fasse un peu : bla bla et bla bla et rablabla et rablabla !........ ?
Bon lundi de pâques quand même à vous.
Heureusement que Christophe Chabot ne lit jamais ce blog, pourrait il comprendre les commentaires de Girard du Marais et de Sam Agace ?
RépondreSupprimerJe ne crois pas
C'est exactement ce que j'ai pensé en lisant ces commentaires,qu'il n'y comprendrait rien.
SupprimerJe suis complètement d'accord avec vous, anonyme de 20H33, je trouve ces échanges ridicules et sam agace.
SupprimerComplètement d'accord avec 20h33 - 20h40 et 20h50
SupprimerNon seulement Chabot n'y comprendrait rien, mais ce n'est pas sa préoccupation du moment !
avec une requête en annulation des élections - un recours pour annulation de la vente de la ferme au c.., et une victoire relative ( à 56 % ! mais bien loin des 85 % qu'il clamait ! ) il doit avoir la tête ailleurs et comment sortir de cette m.... ! Il en est incapable !
Alors la philosophie de Sam Agace et de Girard du Marais !!! il s'en fout ! d''autant que le connaissant il doit dire "La Culture c'est comme la confiture moins on en a plus ............."
Çà peut être aussi comme les parachutes "quand on en a pas, on s'écrase".
SupprimerMouhahahaha!!!!
RépondreSupprimerJe n'ai surement pas écrit ce commentaire pour le maire, pour la confiture j’espère qu'elle ne lui a pas coulée sur les doigts...dans le cas contraire, la prochaine fois j'essayerai de prendre une tartine sans les trous ou alors avec une bonne couche de beurre.
Que nous le voulions ou non, ce projet caractérise bien un processus de fuite en avant.
Que nous le voulions ou non, la victoire aux municipales du maire n'est que très relative, même si elle semble significative. Elle lui a coûté très cher.
Que nous le voulions ou non, la dimension psychologique est prépondérante.
Il ne s'agit pas de faire de la philo ou de jouer le psy, domaines ou je n'ai aucune compétence, je peux vous l'assurer.
Et plutôt que de me laisser aller dans la facilité à répondre sur la forme, il me semble plus intéressant de m'interroger sur le fond des articles et des commentaires et proposer des pistes de réflexion.
C'est trop souvent la signature des inconditionnels du maire que de s'épancher sur la forme et l'invective. Je veux bien les laisser dans le bac à sable à gesticuler.
Cordialement,
NAP ne lâchez rien!!!
Sam Agace
Parfait Sam Agace !
SupprimerLà, votre analyse est concrète, sur la situation dans laquelle le maire de Bréti se trouve, on ne peut que la partager !
Par contre, sur les pistes de réflexion que vous pouvez proposer, j'espère que vous comprenez que Chabot s'en fout ! Il n'écoute pas les "moins que rien", à moins que vous vouliez faire partager à ceux qui pensent comme vous vos analyses comme vous venez de le faire, là c'est très bien !
Merci.
Elever le débat peut nuire à personne, et, comme le dit SAM, il n'a pas écrit ses commentaires pour le maire et heureusement. Personnellement, je trouve ces échanges très intéressants et accessibles.
RépondreSupprimerEn attendant lors du dernier CM il a été voté deux lignes essentielles:
RépondreSupprimerLe droit du maire d'emprunter 5 millions d'euros sans en référer a qui que ce soit,
Ouverture d'un ligne de crédit de 5 millions d'euros
Comment pourra t'on annuler la dette en 2020?
Merci les Brétignollais nous allons payer
Du grand n'importe quoi! Heureusement, l'opposition est là et témoigne de ce qui se passe...
SupprimerJe me permets de modérer vos propos,
SupprimerIl s'agit là, de la délibération concernant les délégations accordées au maire et non pas d'un emprunt ou d'une nouvelle ligne de trésorerie.
Le premier point concerne:
La réalisation d'emprunts, il est important de rappeler que ce sont les emprunts votés au budget et que le montant est un montant plafond de 5M€ prévu par la loi. c'est une obligation de le rappeler dans la délibération.
Le deuxième point concerne:
Les lignes de trésorerie pour un montant du même niveau 5M€.
C'est un point plus technique, car la ligne de trésorerie n'a pas pour vocation de financer l'investissement et ne procurent aucune ressource budgétaire. Elle ne financent que le décalage temporaire dans le temps entre le paiement des dépenses et l'encaissement des recettes.
Il est important de savoir que beaucoup de communes délibèrent dans ce sens, pour se préserver d'un déficit ponctuel de trésorerie et que pour les emprunts ce sont ceux du budget qui celui ci est soumis au vote. C'est deux points ne sont pas des délégations "anormales".
Sur le fond on est bien d'accord que la chimérique dette a "0" n'abuse que ceux qui veulent bien y croire...
Ce qui est plus surprenant (ou pas connaissant l'artiste), c'est qu'il a fait voter l'ensemble des délégations possibles et là c'est moins courant. Je vais simplement donner un petit exemple, le droit de préemption (article 15), en général quand une commune à un projet cela ne se décide pas du jour au lendemain et la commune a le temps de passer la décision en conseil, c'est typiquement le type de droit qui ne nécessite pas un pouvoir de délégation...
Nap ne lâchez rien!!!
Sam Agace
Confiance à la hausse pour les "moins que rien" grâce à la dernière phrase de l'article Ouest-France :
RépondreSupprimer"Localement, Alert a aussi pour mission de constituer des groupes de surveillance des sites menacés."
Bonjour,
RépondreSupprimerArte a diffusé un reportage intéressant sur la disparition du sable dans le monde, qui fait apparaitre le projet de port encore plus irresponsable qu'il ne l'est déjà. Ce reportage est visible pendant une semaine à cette adresse:
http://www.arte.tv/guide/fr/046598-000/le-sable