Nous avons vraiment affaire à une bande de voyous
Les méthodes et le système Chabot expliqués par la commission d'enquête publique de 2011
Comment expliquer un tel écart entre la proposition de l'entreprise Charrier et celle de l'entreprise VCT si ce n'est pour mettre en exergue la proposition bas coût ? Des propositions du simple au double, c'est à peine croyable ! Comme si la dune de la Normandelière ne méritait aucune considération !
Nota : Dans la délibération du CC, on notera « Charrier » dans le tableau et « Charier » dans la délibération. En fait, c’est bien une entreprise TP Charier de Vendée qui a été retenue.
Petite projection concernant le marché pour la création du port de plaisance dont l'appel d'offres sera clos le 15 novembre 2019.
L'appel d'offre a été lancé par obligation mais les dés sont pipés d'avance et, comme pour le marché de défrichage et de terrassement, on aura des propositions du simple au double :
- une proposition initiale de l'entreprise Charier de 30 000 000 euros HT, l'entreprise que Christophe Chabot a déjà contactée depuis longtemps et qui prépare la réponse que Christophe Chabot attend, celle qui sera contenue dans l'objectif fixé par la communauté de communes pour lancer les travaux, celle qui permettra de dire que la réserve de la commission d'enquête publique est levée, ....
- probablement une ou d'autres propositions d'entreprises naïves à des hauteurs de 60 000 000 euros HT, des propositions plus réalistes mais qui ne seront utilisées par Christophe Chabot que pour mettre en exergue la proposition de l'entreprise Charier
Et bien sûr, c'est l'entreprise Charier qui aura le marché
Il ne faut pas se faire d'illusion, une fois que les travaux seront lancés et qu'il ne sera plus possible de revenir en arrière, l'entreprise Charier négociera des avenants au marché initial pour poursuivre les travaux et c'est la collectivité qui financera les surcoûts.
Nous confirmons qu'un tel projet, compte tenu de sa complexité et des risques associés, approchera en final le 60 000 000 euros HT soit un surcoût de l'ordre de 30 000 000 euros HT pour la collectivité.
Nota : ne pas confondre Charrier et Charier !
Voir l'article du 26 septembre 2019
Et ça continue les "bonnes bouffes dans la gueule."
RépondreSupprimerContinuez donc, c'est nous qui payons.
En attendant, notre côte et tout son système animal et végétal seront supprimés.
Et quand la mer entrera dans les terres par les nuits de tempêtes et fortes marées, où seront Chabot et sa clique ?
ils seront au nouveau restaurant panoramique de St Hilaire, à manger, boire à la santé des contribuables.
SupprimerAu fond de la mer,j'espère.
RépondreSupprimerLes Brétignollais vont comprendre : Chabot s'est doté d'un "bu" (un boeuf) pour finir de labourer la Normandelière. Va-t-il le mettre devant ou derrière la charrue ? (devant ou derrière lui) - Le Revenant
RépondreSupprimerBen quoi c'est écologique de travailler avec des bus "des boeufs"
SupprimerC'est toute une politique de diriger les "bus'pour labourer en profondeur.
SupprimerÀ propos des carrières, cherchez sur les images satellites et voyez si vous trouvez une autre carrière remplie d'eau que celle du Brethome.
RépondreSupprimerNota "ne pas confondre": il y en a un candidat à l'attribution d'un marché et un autre candidat dans une commune voisine, alors ne pas mélanger.
RépondreSupprimerBonjour à tous,
RépondreSupprimerDepuis le début de cette affaire ( 2003 ou 2004)je soutiens La Vigie dans son entreprise et suis un lecteur assidu du blog que vous connaissez. Bien
Mais à la lecture des évènements qui semblent se précipiter, des fautes administratives que vous relevez, que fait le Cabinet Lesage pour arrêter la manœuvre.? Rassurez nous Merci d'avance
Soyez rassuré, c'est le feu juridique contre le projet de port.
SupprimerSalve de recours juridiques sur le fond des dossiers concernant principalement la DUP et l'autorisation environnementale : Recours indispensables déposés par le cabinet d'avocats Huglo Lepage au nom de La Vigie et d'autres déposés par les associations environnementales regroupés, par d'autres associations et par des personnes ayant intérêt à agir
En s'appuyant sur ces indispensables recours sur le fond des dossiers (SCoT, PLU, port),en fonction du caractère d'urgence et des observations évidentes sur le terrain, vont venir une pluie de recours suspensifs circonstanciés où le juge des référés devra se prononcer rapidement.
Vous voyez que l'étau judiciaire se resserre sur le projet de port de plaisance de Bretignolles et que Christophe Chabot aura beaucoup de mal à passer à travers les mailles du filet judiciaire.
Il sait tout ça, c'est pourquoi il s'empresse à lancer des travaux sur le terrain estimant être couvert par les autorisations du préfet de Vendée.
En agissant ainsi il prend des risques considérables et il faudra qu'il paie à un moment ou à un autre.
Nota : Bien sûr tous les recours des associations peuvent être appuyés par des recours individuels directement envoyés au tribunal administratif de Nantes et il n'y a pas besoin d'avocats pour faire des recours administratifs.
Tous ceux qui ont envoyé des recours gracieux au préfet de Vendée sans réponse (j'en fais partie) ont intérêt à poursuivre en déposant un recours contentieux au tribunal administratif, c'est mon avis.
La victoire finale est au bout du chemin judiciaire
Pensez à aider La Vigie dans son combat judiciaire, Christophe Chabot a 2 cabinets d'avocats et a l'argent de la collectivité pour les financer, nous nous n'avons que l'argent de nos soutiens.
https://www.leetchi.com/c/le-littoral-vendeen-sacrifie?fbclid=IwAR1UzC1__dj2FRfg14xOlkOXm4hvl6cs-ovPlb3GRtqS3RqegowOeRgJLLU
Merci à tous