Pour assister en direct à l’installation du nouveau conseil communautaire sur YouTube, le 10 juillet 2020 à partir de 19 heures, voici le nouveau LIEN
Ouest-France du 10 juillet 2020 - Vendée. Au Pays de Saint-Gilles, une élection à enjeu
La référence du moment : Center Parcs Roybon (France Nature Environnement)
Ce conflit médiatisé a permis de mettre en avant le rôle majeur des zones humides dans un contexte de réchauffement climatique galopant ....
Ce combat a mis en évidence le rôle majeur des citoyens et des associations dans la protection de l’environnement. .....
Cet abandon de Pierre et Vacances marque un tournant pour l’activité touristique. Gageons qu’elle se tournera vers un accueil à taille humaine et des activités centrées sur la nature et la production locale permettant le maintien d’une population active et des services plutôt que la destruction de ressources naturelles irremplaçables pour des emplois à temps partiel ne permettant pas une vie
décente !....
La réaction de la ministre (Libération)
La ministre de la Transition écologique, Barbara Pompili, a accueilli sans regret la nouvelle sur France Info : «J’étais de longue date opposante à ce projet de l’ancienne période. Ce qui se passe là prouve qu’on est passé à autre chose.»
Ce sont des paroles de ministre que nous aimerions entendre demain concernant le projet de port de plaisance de Bretignolles
L’autre information du jour : lac de Caussade, les sanctions
Sud-Ouest du 10 juillet 2020. Procès du lac de Caussade : peines de prison ferme pour Serge Bousquet-Cassagne et Patrick Franken
Voilà ce qui attend ceux qui passent en force, ceux qui réalisent des projets d’aménagement illégaux sans attendre les décisions juridictionnelles
Port Bretignolles cité dans le Point du 9 juillet 2020 : le grand retour du ministère de la mer
Extrait
Les territoires maritimes français abritent en effet 10 % de la biodiversité mondiale
L'appellation « ministère de la Mer » est assez large pour englober aussi bien des questions économiques que militaires, écologiques ou diplomatiques. À la fois une bonne et une mauvaise nouvelle, puisque l'administration devra faire des choix. Paul Durand, maître de conférences au département de Géographie de Paris-I, veut y voir une « volonté de prendre en compte les enjeux écologiques ». Car ce spécialiste des littoraux et de la gestion des risques considère que la mission la plus importante d'un tel ministère doit avant tout être celle du développement durable. « Nous devons réussir à concilier l'activité économique et la préservation de l'environnement. » Les territoires maritimes français abritent en effet 10 % de la biodiversité mondiale. « Ce n'est pas le sujet principal, mais c'est à la mode », estime Olivier Aranda, doctorant en histoire maritime à Paris-I. Plus que l'aspect écologique, le ministère de la Mer devrait d'ailleurs mettre en avant l'aspect économique des territoires marins, d'après Julia Tasse.
Sur le terrain, le manque de concertation et le trop grand nombre de décisions prises sans consultation des acteurs posent problème. Bien qu'il existe déjà une gestion intégrée des zones côtières, elle engage encore trop souvent des projets sans véritable concertation. « Il faut faire en sorte qu'ils se parlent », lance Paul Durand à propos des acteurs du littoral. Il donne l'exemple d'un projet de construction d'un port de plaisance en Vendée, sur un site naturel classé. Entre les décisions contradictoires des commissions d'enquête des autorités environnementales et du PLU, la ville de Bretignolles-sur-Mer voit s'affronter ses habitants via associations interposées. Et ce n'est pas un cas isolé.
L'appellation « ministère de la Mer » est assez large pour englober aussi bien des questions économiques que militaires, écologiques ou diplomatiques. À la fois une bonne et une mauvaise nouvelle, puisque l'administration devra faire des choix. Paul Durand, maître de conférences au département de Géographie de Paris-I, veut y voir une « volonté de prendre en compte les enjeux écologiques ». Car ce spécialiste des littoraux et de la gestion des risques considère que la mission la plus importante d'un tel ministère doit avant tout être celle du développement durable. « Nous devons réussir à concilier l'activité économique et la préservation de l'environnement. » Les territoires maritimes français abritent en effet 10 % de la biodiversité mondiale. « Ce n'est pas le sujet principal, mais c'est à la mode », estime Olivier Aranda, doctorant en histoire maritime à Paris-I. Plus que l'aspect écologique, le ministère de la Mer devrait d'ailleurs mettre en avant l'aspect économique des territoires marins, d'après Julia Tasse.
Sur le terrain, le manque de concertation et le trop grand nombre de décisions prises sans consultation des acteurs posent problème. Bien qu'il existe déjà une gestion intégrée des zones côtières, elle engage encore trop souvent des projets sans véritable concertation. « Il faut faire en sorte qu'ils se parlent », lance Paul Durand à propos des acteurs du littoral. Il donne l'exemple d'un projet de construction d'un port de plaisance en Vendée, sur un site naturel classé. Entre les décisions contradictoires des commissions d'enquête des autorités environnementales et du PLU, la ville de Bretignolles-sur-Mer voit s'affronter ses habitants via associations interposées. Et ce n'est pas un cas isolé.
Petit Supplément
Ouest-France du 10 juillet 2020. Coup de tabac sur le groupe Beneteau
Et à Roybon,il y avait des vrais créations d'emplois locaux,contrairement à Brétignolles!
RépondreSupprimerSTOP
RépondreSupprimerSi les elus restent insensibles aux menaces individuelles et chantages proférés cette semaine par le Poutine des bacs à sable, tout devrait bien se passer ce soir...
RépondreSupprimerle psig organise un contrôle massif de dépistage ?
RépondreSupprimerN'oubliez pas de télécharger l'appli stopcovid.
A tout ceux qui viennent ce soir à Landevieille,
RépondreSupprimerIl est possible qu'il y ait aussi des soutiens de Chabot, donc il est important de ne pas rentrer dans le jeu si provocations il y a.
Depuis le début, nous avons été plus intelligents et il est important de le rester, que le résultat soit favorable ou non.
Chabot serait trop heureux de voir éclater un conflit sur le parking et serait le premier à l'instrumentaliser contre nous et contre François Blanchet.
En cas de victoire, inutile de chambrer et narguer les pro ports présents.
En cas de défaite, c'est un joker de moins mais rien ne sera fait, notre présence fera comprendre à Chabot et aux élus que l'opposition reste plus que jamais mobilisée !
A ce soir !
A ce soir
Supprimeralexandre vous vous croyez pour qui intelligents à voir Attendons le résultat vous n allez pas être déçus bande de rigolos
Supprimer14h03 :commencez par acheter des mots et ensuite vous tenterez de composer des phrases.
Supprimerreponds donc charlot
Supprimer14:03 C'est bon, vous êtes pas trop déçu ??
Supprimerpom pom pom
RépondreSupprimerquand un ministre fait son entrée sur le blog
http://lelab.europe1.fr/contrairement-a-francois-de-rugy-barbara-pompili-est-bien-decidee-a-se-battre-au-sein-deelv-2506503
le 27 août 2015 , et le 30 septembre 2015
https://www.lemonde.fr/politique/article/2015/09/30/barbara-pompili-je-quitte-eelv_4777681_823448.html
et demain ? çà c'est le monde d'après
et çà change tous les jours
De toute façon je combats les feux d'artifices dans les zones humides depuis longtemps.
https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/les-sables-dolonne-85100/les-sables-d-olonne-un-14-juillet-sans-feu-d-artifice-ni-defile-6900763
Et les vins d'honneur bio ?
la réthorique juridique des zones humides :
RépondreSupprimer« L’arrêt de la Cour administrative d’appel de Lyon est tombé ce matin du 21 mai 2019. La Cour a suivi les conclusions du Rapporteur Public. Elle a rejeté les conclusions des avocats de Pierre et Vacances et commande une expertise indépendante, dont la mission sera "de caractériser, puis redéfinir la superficie des zones humides en vue de la révision des mesures compensatoires". ....
12 ans de procédure vingt ans de zad ou trois mois de covid ... à vous de voir
le traité international "convention de ramsar" a été signe en 1971 et entré en application en 1975
ah oui quand même presque cinquante ans que çà dure
ce serait pas un truc du monde d'avant, t'es sur?
çà en fait des graines de courges économisées
- Contre toutes les personnes qui ne sont en accord avec les idées de monsieur Chabot: attaques systématiques contre les personnes en guise d'arguments, menaces, chantages, abus de pouvoir, appel à des "miliciens" pour interventions destructives, diffamations,...
RépondreSupprimer- Pour toutes les personnes qui le suivent ou pour obtenir l'obéissance: corruption, avantages offerts en utilisant les possibilités de la commune ou de la comcom ou autres moyens,....
- Utilisation de moyens de communication pour faire passer des mensonges éhontés sur le projet de port ou contre les opposants
UNE CERTAINE IDEE DE LA "DEMOCRATIE TOTALITARISTE" version Chabot.
Nous voulons une autre gouvernance qui accepte le débat, qui recherche des solutions les meilleures pour l'ensemble des habitants de la comcom dans un respect des personnes et de l'environnement.
STOP
RépondreSupprimerles directives cadres sur l'eau ont été adoptées en l'an 2000 il y a vingt ans
RépondreSupprimerhttps://ec.europa.eu/environment/pubs/pdf/factsheets/wfd/fr.pdf
normalement il n'y a pas besoin de juges pour appliquer la loi ou l'expliquer au préfet et aux maires et aux experts.
un peu quand même alors c'est par ici messieurs et mesdames les délégués communautaires
https://www.eaufrance.fr/les-principaux-textes-en-vigueur
celà ne concerne pas que les dossiers de ports futuristes
on peut aussi faire démolir des trucs existants qui méconnaissent ces petits principes
on risque de patauger un petit moment
Tout à fait d'accord avec vous 11h45, il est temps de changer de gouvernance afin de retrouver une sérénité au pays de Saint Gilles croix de vie.Je croise les doigts pour ce soir !
RépondreSupprimer������
RépondreSupprimer10 millions d'euros par semestre pour une ong au choix désigné par le conseil d'état tant que la qualité de l'air n'est pas suffisante
RépondreSupprimerjackpot .... suivant pour la qualité de l'eau
En leur âme et conscience (pour ceux qui en sont dotés),les conseillers communautaires ne peuvent pas voter chabot.Tout le monde sait comment il est;ceux qui voteront pour lui sont serviles et intéressés,mais pas honnêtes...
RépondreSupprimerUne nouvelle gouvernance s'est mise en place ce soir. Merci, mr Blanchet.
RépondreSupprimerNos sinceres felicitations a mr blanchet presiddent de la communaute de communes
RépondreSupprimerElu par 26 vooix contre 21 sous reserves
c'est fait !!! bye bye Chabot et le port !!!!
RépondreSupprimerYoupi! Bravo !!!!
RépondreSupprimerSommes Bretignollais et n'avons jamais été pour ce projet. Contrairement à ce que vient de dire Frédéric Fouquet à l'issue de l'élection, tous les Bretignollais ne soutiennent pas le port.
Très heureux de ce changement à la tête de la communauté. Avons espoir, enfin. Bonne soirée à tous les opoosants (aux autres aussi).
10 JUILLET 2020 : fête nationale:fin de la dictature à Brétignolles sur mer.
RépondreSupprimerOn conseille à Monsieur Bréti-presse de ne pas mas mettre en vente le journal "Ouest -France" aujurd'hui.
Sinon,tout va bien merci .
Enfin,quand je disais"tout va bien",j'avais quand même du mal à écrire visiblement...Maintenant,TOUT VA BIEN .
SupprimerEncore que...Il vaut mieux que j'arrête.
SupprimerPermettez moi d avoir l espoir que les tensions s apaisent enfin ,sans trop de rancoeurs ni reglements de comptes a posteriori
RépondreSupprimerNon on ne va pas raser la tete aux egeries du camp adverse ni insulter ses partisants
Et ce pour deux raisons princcipales
La premiere etant que nous ne nous abaisserons jamais a leur niveau
Et pour certains d entre eux la perte financiere prevue est bien plus importante que leurrs investissements a fonds perdus pour la collectivite donc nous les contribuables , donc la raison et le bien commun seuls
Sont preserves pas notre biotope suffisemment meurtri et qu il nous est imperatif de reconstituer au mieux de nos possibilites
Pourquoi ne peut-on pas revoir sur YouTube le conseil communautaire d'hier soir?
RépondreSupprimer